separateurCreated with Sketch.

Les pharmaciens face au projet de loi fin de vie

Yellow Title Icon
Article Premium - Connectez-vous ou créez votre compte (100% gratuit)
PHARMACIE-shutterstock
whatsappfacebooktwitter-xemailnative
Blanche Streb - publié le 27/05/24
whatsappfacebooktwitter-xemailnative
Le texte du projet de loi relatif à la fin de vie examiné depuis le 27 mai à l’Assemblée nationale exclut les pharmaciens de toute clause de conscience. Cette disposition est injuste et grave, dénonce notre chroniqueuse Blanche Streb, elle-même pharmacien de vocation et de formation. Ce qui est interdit pour eux deviendrait une obligation.

Le très contesté et contestable projet de loi fin de vie arrive en séance plénière de l’Assemblée nationale ce 27 mai, après avoir été lourdement aggravé en commission spéciale. Création d’un délit d'entrave à l'aide à mourir, disparition du critère de pronostic vital, réduction du délai de réflexion, euthanasie réalisée par un proche, fragilisation de la collégialité de la décision, contradictions sur les modalités d’administrations et sur la vérification de la réitération du consentement au moment de l’acte… 

Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !

Vous aimez le contenu de Aleteia ?

Aidez-nous à couvrir les frais de production des articles que vous lisez, et soutenez la mission d’Aleteia !

Grâce à la déduction fiscale, vous pouvez soutenir le premier site internet catholique au monde tout en réduisant vos impôts. Profitez-en !

(avec déduction fiscale)