Après la joie de Noël et son octave, l’Épiphanie, qui fait mémoire de l’adoration des mages, permet de se rassembler autour d’une bonne galette. Un boulanger propose avec humour une solution pour que cela reste un moment 100% convivial.
“Allez, le plus jeune sous la table ! – Qui est-ce ? – Moi ! – Non, moi ! – Poussez-vous, j’arrive !”. Cette effervescences familiale et amicale autour de la traditionnelle galette des rois ne marque-t-elle pas les esprits autant que le petit morceau de madeleine imprimé à jamais chez le jeune Marcel ? Que de bons moments partagés autour d’une savoureuse galette à la frangipane ou d’une brioche provençale aux fruits confits.
Mais tirer les rois, comme dit l’expression, n’est pas forcément gage d’unité familiale et s’avère parfois un exercice délicat. Cette tradition qui trouve ses prémices dans l’Antiquité permet de désigner un roi ou une reine. Trouver la précieuse fève, c’est devenir le roi d’un jour. Mais que de déceptions — qui s’expriment parfois par des vallées de larmes — pour les moins chanceux qui font chou blanc et ne trouvent plus dans leur part de galette qu’une mince couche de frangipane inepte à satisfaire leurs rêves de gloire les plus fous…
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Grâce à cette galette pour tous qui n’en finit pas de faire sourire sur les réseaux sociaux, la solution est au bout de votre rouleau à pâtisserie. C’est simple : il vous suffit de préparer vous-même votre galette et d’y glisser autant de fèves que de convives. Fini les bouderies et les claquements de portes. À vos ustensiles !
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