Le monde est arbitrairement divisé en deux groupes : ceux qui n’ont aucune difficulté de se réveiller bon pied bon œil aux premières heures du jour, et ceux qui traînent au lit, qui hésitent avant de risquer un pied hors de la couette et qui ne sont capables de rien de bon avant d’avoir bu au moins une tasse de café.
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La sonnerie du réveil suffit à vous irriter, n’est-ce pas ? Si vous comptez parmi les mauvais oiseaux du matin, chaque aurore présente un risque de désastre : se prendre les pieds dans le tapis, glisser dans la salle de bains ou se brûler avec du café. Autant de dangers pour ceux qui ont le réveil pénible. Sans négliger les effets de pareil début de journée sur son entourage.
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Il arrive à tous de se réveiller de mauvaise humeur. Est-ce la faute à notre horloge biologique ou de notre tempérament ? Pouvons-nous changer ? Probablement. À condition de reconnaître que le corps humain est soumis à un rythme circadien, un rythme biologique qui possède au moins un cycle par période de 24 heures. C’est ce rythme qui nous aide à rester éveillé et alerte pendant la journée. Et le même qui nous permet de nous endormir dans l’obscurité.
La fête du jour
