Ce que la robe de mariée de cette miss Univers a de spécial

"La simplicité est la sophistication suprême." Olivia Culpo, actrice et mannequin américaine élue Miss USA et Miss Univers en 2012, semble avoir emprunté cette phrase à Léonard de Vinci pour le choix de sa robe de mariée. Samedi 1er juillet, la jeune femme s'est unie au joueur de football américain Christian McCaffrey. Alors que la reine de beauté, suivie par plus de cinq millions de personnes sur Instagram, est plutôt une habituée du glamour et des paillettes, elle a choisi une robe de mariée très épurée. Bien qu'impressionnante par la taille du jupon et de sa traîne, la robe, confectionnée par le couturier Dolce Gabanna, contraste avec les collections actuelles en se caractérisant par un style extrêmement simple : pas de dentelle, de dos-nu ou de décolleté. À la place, un col rond, des manches longues, un dos boutonné, et une taille mise en valeur par une jupe plissée et volumineuse en crêpe. La robe tranche également avec le reste du mariage, quant à lui plutôt fastueux, ainsi qu'avec la seconde tenue arborée par la Miss pour la soirée, pour le coup beaucoup plus osée.

Un choix expliqué par la miss Univers elle-même comme une manière d'honorer le caractère sacré de l'engagement qu'elle s'apprêtait à prendre avec son futur époux. Ce dernier a fait part de sa foi catholique à plusieurs reprises, aussi bien sur le terrain qu'auprès des médias. Se marier à l'église était donc une évidence pour ces fiancés. "Je ne voulais pas d'une robe sexy", assume ainsi la jeune femme dans une interview au magazine Vogue. "Je voulais quelque chose d'effortless (sans effort, qui apporte une allure naturelle, ndlr), qui soit en harmonie avec ma silhouette, mais qui reste assez humble. Il y a tant de beauté dans la simplicité !", confie-t-elle. Un choix que beaucoup de ses internautes ont cependant critiqué, regrettant la dimension trop "sage" d'une telle robe. Si de nombreux commentaires raillent la jeune femme, d'autres ne manquent pas de la soutenir et de la complimenter.