Pour qu'Aleteia poursuive sa mission, faites un don déductible à 66% de votre impôt sur le revenu. Ainsi l'avenir d'Aleteia deviendra aussi le vôtre.
*don déductible de l'impôt sur le revenu
Hédzranawoe, quartier plutôt résidentiel de Lomé (Togo). Au siège de la Conférence épiscopale togolaise qui sert au Conseil épiscopal Justice et Paix dont il est coordinateur national, le père Gustave Sanvee est ravi de pouvoir parler d’Aleteia. "J’aime beaucoup ce média" commente-t-il, ému, "et je ne peux que vous recevoir spontanément et avec plaisir" s’enthousiasme le prêtre. Ancien directeur de Radio Maria (1999-2002) l’abbé Gustave qui est, depuis 2007, à la tête de l’unique télévision catholique du pays ne se définit pas que comme "lecteur inconditionnel des riches articles si bien diversifiés" d’Aleteia, "mais aussi comme un admirateur" précise-t-il. D’autant que, depuis le début de l’année de la famille initiée par le pape François, le prêtre quinquagénaire a utilisé de nombreuses publications du média missionnaire pour accompagner de futurs mariés.
"Une libération fructueuse de la parole"
Dans le cadre de l’accompagnement de jeunes "à la recherche de leur âme sœur", les responsables de la pastorale d’Aného, un diocèse mitoyen de l’archidiocèse de Lomé, font appel au père Gustave. L’objectif : animer des rencontres de célibataires, "désireux de se marier". Une proposition qui tombe à pic d’autant que "j’avais, à partir des publications d'Aleteia, fait une bonne collection d’articles" portant sur la vie de couple, avoue l’abbé. Au lieu de conférences classiques, il a préféré la lecture des articles sélectionnés autour desquels tourne ensuite une réflexion collective.
Et les effets ont été immédiats, assure le père Gustave. Ces lectures ont déclenché chez les participants "une libération fructueuse de la parole", explique-t-il. Le fait qu’aussi loin qu’en Occident, d’autres avaient été confrontés aux mêmes questionnements sur le mariage était rassurant pour les futurs mariés. Et le prêtre se livre à une longue énumération de publications, "Cinq choses que j’aurais voulu savoir avant le mariage ; Comment puis-je savoir si ce que je ressens est vraiment de l’amour ; Comment vivre une vraie confiance dans le couple" ou encore "Dix bonnes raisons de rester chaste avant le mariage ; Abstinence sexuelle pendant les fiançailles ; Six façons simples de montrer à sa femme qu’on l’aime", bref, une série d'articles publiés au fil des mois par Aleteia.
Je ne dirai jamais assez merci.
Le prêtre retrouve dans ces textes qui ne sont pas trop longs, l’essentiel. "Et les réflexions du Pape sont pertinentes et précieuses en la matière", assure l’abbé. Il en a d’ailleurs retenu quelques titres, "La recette du pape François pour un amour qui dure" ou "Les conseils du Pape aux jeunes", tous issus des publications d’Aleteia auquel, concède-t-il, "je ne dirai jamais assez merci". Après Aného, ces rencontres qui connaissent un franc succès ont continué à Lomé et le prêtre n’en doute pas, "elles ont aidé beaucoup ces jeunes à faire de bons choix". Aujourd’hui, alors que le mariage perd de plus en plus son caractère sacré même en Afrique où la notion de la famille est ancrée, il pense que "l’Église doit davantage préparer les jeunes qui y aspirent". Et l’année de la famille en cours est l’occasion rêvée.