separateurCreated with Sketch.

Sans elle, les Filles de la Charité n’auraient peut-être jamais vu le jour

Yellow Title Icon
Article Premium - Connectez-vous ou créez votre compte (100% gratuit)
WEB2-MARGEURITE-NASEAU-FILLE-DE-LA-CHARITE.jpg

Marguerite Naseau.

whatsappfacebooktwitter-xemailnative
Raphaëlle Coquebert - publié le 19/12/21
whatsappfacebooktwitter-xemailnative
Sans Marguerite Naseau (1594-1633), jeune vachère de Suresnes (Hauts-de-Seine), les Filles de la Charité, œuvre commune des saints Vincent de Paul et Louise de Marillac, n’auraient peut-être pas vu le jour. Très attachés à sa figure, les chrétiens du diocèse de Nanterre se réjouissent de l’ouverture de son procès en canonisation.

Ceux qui prétendent que les femmes n’ont jamais tenu que des rôles de figurantes dans l’histoire de l’Église gagneraient à se pencher sur la vie de l’un de ses saints les plus populaires, Vincent de Paul (1581-1660). Sainte Louise de Marillac, première supérieure de la Compagnie des Filles de la Charité, est en effet loin d’avoir été la seule "influenceuse" de l’illustre apôtre de la charité. Parallèlement aux dames du monde d’alors, une humble paysanne, née aux portes de Paris sur une terre de vignobles, a orienté de manière décisive l’action du petit pâtre devenu aumônier de la reine. 

Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !

Vous aimez le contenu de Aleteia ?

Aidez-nous à couvrir les frais de production des articles que vous lisez, et soutenez la mission d’Aleteia !

Grâce à la déduction fiscale, vous pouvez soutenir le premier site internet catholique au monde tout en réduisant vos impôts. Profitez-en !

(avec déduction fiscale)