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Curé de Saint-Ferdinand des Ternes (XVIIe), le père Matthieu Rougé est nommé évêque du diocèse de Nanterre. Il succède à ce poste à Mgr Michel Aupetit, nommé archevêque de Paris en décembre dernier.
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Connu pour avoir été l’aumônier des parlementaires français pendant neuf ans (de 2004 à 2012), le père Matthieu Rougé vient d’être nommé évêque du diocèse de Nanterre par le pape François. Son ordination épiscopale aura lieu le dimanche 16 septembre à 15h en la cathédrale Sainte-Geneviève-Saint-Maurice de Nanterre.
Ordonné prêtre en 1994 pour l’archidiocèse de Paris, Mgr Rougé a été vicaire de l’église Saint-Séverin en 1996 avant de devenir le secrétaire particulier du cardinal Jean-Marie Lustiger en 2000. Trois ans plus tard, ce dernier lui a confié la basilique Sainte-Clotilde, puis la direction du Service pastoral d’études politiques (SPEP), l’aumônerie des parlementaires. Deux fonctions qu’il occupe jusqu’en 2012. Un an plus tard, en 2013, il a été nommé curé de la paroisse Saint-Ferdinand des Ternes – Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus.
Dans un message adressé aux prêtres et diacres de Paris, Mgr Michel Aupetit a tenu à remercier le père Matthieu Rougé pour “son travail pastoral au diocèse de Paris où ses nombreuses qualités l’ont fait particulièrement apprécier”.
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Théologien et essayiste catholique, le père Matthieu Rougé s’est fait connaître du grand public en 2014 avec son livre L’Église n’a pas dit son dernier mot : petit traité d’antidéfaitisme catholique où il s’attache à répondre de manière vigoureuse et argumentée au déclinisme qui a souvent cours à l’extérieur comme à l’intérieur de l’Église.
Ami de Jean d’Ormesson, c’est lui qui avait célébré la messe d’obsèques de l’écrivain en la cathédrale Saint-Louis des Invalides le 8 décembre dernier. « En dépit des apparences, le Christ ne nous accompagne pas du berceau au cimetière mais nous appelle à sortir progressivement des tombeaux de nos peurs, de nos étroitesses, de nos certitudes trop faciles pour entrer dans la plénitude de sa vie », avait-il rappelé avec justesse dans son homélie.
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