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Le dernier film de Natalie Saracco, un “Amélie Poulain catho”

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Maëlys Létondot - publié le 23/06/17
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Aleteia a rencontré la cinéaste Natalie Saracco qui vient de terminer la réalisation de son court-métrage : “Si le Monde savait”.

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“La femme d’affaires du Christ”, comme elle aime se nommer, est franche, ambitieuse, dynamique et souriante. Elle commence son Facebook Live avec notre rédacteur en chef par un cours de flipper et présente, à la caméra, les différents membres de sa famille et ses amis qui passent la voir au moment de son interview, toujours hilare et spontanée.

La cinéaste avait déjà rencontré un franc succès avec la production de son long-métrage La Mante Religieuse en 2014, et la publication de son livre Pour ses Beaux Yeux, qui relate le miracle qu’elle a vécu suite à un grave accident de voiture. Son dernier court-métrage, Si le Monde savait, a été réalisé sur l’impulsion de la Mère supérieure des Sœurs de la Visitation de Paray-le-Monial et la responsable de la Garde d’Honneur du Sacré-Cœur de Jésus, dont elle est membre.

La basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, qui est le monument le plus visité de France, avant même la Tour Eiffel ou le Musée du Louvre, constitue le décor de Si le Monde Savait. Le film a pour thème central l’idée qu’un regard peut changer beaucoup et met ainsi en scène des trajectoires croisées de personnes qui ne se connaissent pas, mais que quelque chose va réunir. La caméra embarquée suit le parcours d’une femme qui va rencontrer des personnes aspirant finalement tous à la même chose : aimer et être aimé. On a, d’un côté, à faire à une galerie de personnages malheureux et “plus ou moins paumés”, selon les mots de la réalisatrice, et de l’autre côté le Sacré-Cœur de Jésus, qui se consume d’Amour pour eux. Pour Natalie Saracco, “il n’y a rien de pire qu’un amour méconnu, rien de pire que d’aimer une personne sans que celle-ci le sache”.

Ainsi, le fil rouge de ce film est précisément ce lien d’Amour indicible entre Dieu et les hommes, ce lien qui mène au vrai Bonheur, celui d’être aimé(e) de Dieu et de l’aimer. “Je suis fière de le dire, c’est de la pure propagande de Jésus, du pur prosélytisme chrétien ! Dans une société où le nivellement se fait par le bas, dans une société on veut détruire Dieu, la conséquence est forcément la mort de l’Homme. Ce film propose de se recentrer sur le cœur de l’Évangile, qui est la Bonne Nouvelle, celle qui nous rappelle sans cesse que Dieu est Amour, qu’Il nous aime profondément et que nous ne sommes pas orphelins.”

Ce court-métrage sera mis en ligne à partir du 23 juin, fête du Sacré-Cœur. Il est traduit dans de nombreuses langues selon la cinéaste qui le voulait accessible au plus grand nombre, notamment en arabe par solidarité pour les chrétiens d’Orient.



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