Le chanteur et producteur américain John Elefante, vient de sortir une chanson sur l’avortement. Il y fait référence au sort de sa fille adoptive, Sami, dont la mère biologique – une jeune adolescente de 13 ans abandonnée par son petit ami – a refusé finalement l’avortement.
Le blog de Jeanne Smits évoque cette histoire, celle de la petite Sami devenue « une vraie jeune fille, basketteuse de talent, chrétienne presbytérienne du MidWest ». Elle apparaît notamment à la fin de la vidéo avec son père : « pour dire sa gratitude éternelle à cette jeune fille qui a choisi la vie, elle pour rappeler qu’aux Etats-Unis, 3 500 enfants sont avortés chaque jour. Et ils renvoient vers un site d’aide aux futures mères ».
John Elefante, rapporte encore Jeanne Smits, « qui a obtenu de nombreux Grammy Awards au cours de sa carrière de chanteur et de producteur est chrétien et croyant. Cela explique la teneur du refrain pro-vie, qui l’emporte musicalement sur le refrain pro-mort de la chanson qui traduit le discours lénifiant des médecins s’apprêtant à tuer l’enfant que la jeune fille enceinte voit en rêve grandir et trouver le bonheur au sein d’une vraie famille :
Alors le Seigneur commença à parler :
Vous ne prendrez pas celle-ci, elle est à moi,
Elle grandira et chantera mon Nom,
Vous ne la prendrez pas, elle est à moi…
Non, vous ne la prendrez pas cette fois ! »
Et la jeune fille crie : « Je dois appeler ma Maman, qu’elle m’aide à trouver une famille pour mon enfant ! ». Puis la jeune fille s’échappe et fuit l’avortoir en courant – avec une petite fille qui l’enlace, puis sourit son merci, et disparaît ».
La fête du jour