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La délicatesse inégalée des médailles en nacre

Anne.K propose 23 modèles de médailles en nacre sur son site.

Cécile Séveirac - publié le 14/06/24
Depuis dix ans, la manufacture Anne.K fabrique des médailles en or dans le plus grand respect d’un savoir-faire ancestral. Elle propose désormais de splendides modèles en nacre, une alternative originale au célèbre or jaune avec laquelle elle partage un point commun : la délicatesse.

La nouvelle est tombée : le bébé arrivera au printemps et vous serez parrain ou marraine dans quelques mois. C’est le moment de choisir une médaille que le nouveau baptisé pourra porter aussi bien enfant que plus grand. Et si c’est presque automatiquement vers l’or jaune que se tournent marraines, parrains et parents, il existe pourtant une alternative tout aussi précieuse : la médaille en nacre. D’une grande douceur, lumineuse avec ses reflets ondoyants et moirés, la nacre a le vent en poupe, mais son travail nécessite une maîtrise et un savoir-faire bien particuliers. Et c’est au sein de l’atelier Anne.K que l’on est susceptible de les trouver. 

L'atelier a été fondé par Anne Kirkpatrick, sculpteur, et son fils Bruce, graveur.

Installé dans le Gers, l’atelier Anne.K s’impose depuis dix ans sur le marché des médailleurs français grâce à une fabrication artisanale 100% française. Fondé par Anne Kirkpatrick, sculpteur, et son fils Bruce, graveur, l’atelier se distingue par sa capacité à créer des produits d’une qualité irréprochable, sans répercussion sur le prix. Si la manufacture Anne.K propose déjà une vingtaine de modèles en or jaune, argent ou encore vermeil, c’est vers la nacre qu’elle met en lumière aujourd’hui. "C’est un matériau que l’on trouve dans certains coquillages, qui forme un revêtement intérieur dans lequel seront coupées des plaques plus ou moins fines", explique à Aleteia Bruce Kirkpatrick. "Nous travaillons à l’élaboration de ce projet depuis quatre ans. Ces médailles sont le fruit d’un savoir-faire tout à fait unique."

23 modèles

Unique, car Anne Kirkpatrick est l’une des seules, en France, à sculpter les modèles qui servent de base au graveur. Après avoir minutieusement choisi un jeton en nacre vierge de toute irrégularité, le graveur reproduit le motif dans la nacre. Ce procédé diffère de celui employé pour une médaille en or, explique Bruce Kirkpatrick, où le motif ressort en creux au moyen d’une presse. Cinq heures sur le tour à réduire sont nécessaires pour reproduire tous les détails de la médaille en nacre. Dans un deuxième temps, le cerclage en or d’une grande technicité protègera les bords de la médaille et sublimera la douce lumière de la nacre.

Cerclage d'une médaille en nacre.

L’ensemble des modèles proposés par la marque, soit 23 au total, sont désormais déclinés et disponibles à la vente. Si l’on retrouve la traditionnelle Vierge à l’Enfant sous différents aspects, il sera donc aussi possible d’offrir (ou de s’offrir) l’arbre de vie, la colombe du saint Esprit, l’agneau de la Paix… L’atelier Anne.K se fournit en nacre auprès d’une petite entreprise du nord de la France spécialisée dans la marqueterie. "C’est une volonté très forte de l’atelier de fonctionner en circuit court", relève Bruce Kirkpatrick. "Il est très rare d’acheter directement au fabricant dans ce milieu, et c’est ce que nous avons choisi de faire pour garantir une qualité de produit irréprochable."

Une matière intemporelle

Irréprochable, c’est bien le mot qui vient à l’esprit d’Anne-Sophie Dubois-Houdet pour décrire les médailles Anne.K Cette maman de trois enfants a découvert l’atelier après s’être fait voler toutes les médailles de baptême de sa famille. "Ma fille Castille va faire sa première communion, je voulais lui retrouver une médaille", explique-t-elle à Aleteia. "J’avais moi-même reçu de ma mère une médaille en nacre, que je trouve extrêmement féminine. J’aime la nacre pour son côté original, moins classique que l’or jaune. Cela se porte facilement surtout pour une jeune fille, peut-être parce que c’est moins connoté qu’une médaille en or", souligne-t-elle en relevant le caractère intemporel de ce bijou. "Je me suis dit que la petite fille à qui j’allais offrir ce bijou deviendrait un jour une femme, et qu’elle pourrait le porter en dehors de sa signification baptismale", abonde Thérèse Note, future marraine d’une petite Madeleine, pour qui cette médaille en nacre revêt aussi bien une dimension spirituelle qu’esthétique. "C’est à la fois classique et moderne. Elles ont un style qui leur est propre."

Médaille du Saint Esprit.

Après avoir acheté la médaille, Anne-Sophie a appelé l’atelier pour demander une gravure. Le coup de foudre est immédiat : "Au-delà de la qualité du produit, on se sent très écouté par le service client qui est d’une réactivité absolue." Pour Thérèse, cet accompagnement personnalisé est gage de confiance. "J’ai été très touchée par le soin avec lequel l’achat est traité, s’émerveille-t-elle. On a l’impression de ne pas être une cliente parmi tant d’autres, c’est vraiment du sur-mesure. Tout concourt à rendre ce cadeau exceptionnel."

[EN IMAGES] : Les secrets de fabrication d'une médaille Anne.K

En partenariat avec Anne K

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