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La médaille miraculeuse et ses premiers prodiges

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France
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Anne Bernet - publié le 27/11/24
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Diffusée à des millions d’exemplaires à partir de 1832, la médaille miraculeuse de la rue du Bac, que l’Église fête le 27 novembre, doit sa popularité auprès des fidèles aux nombreux prodiges qui lui sont attribués à une époque où le choléra faisait rage. Mais attention, cette médaille, don de Dieu et de Marie aux hommes n’est pas à confondre avec un grigri ou un porte-bonheur.

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L’on ne peut aller contre la volonté de Dieu ; pour improbable qu’elle soit à vues humaines, la réalisation de Ses désirs est immanquable. Cela explique comment, à l’automne 1831, un lazariste sans relations, chargé d’accomplir la mission confiée par Notre-Dame à l’une de ses pénitentes, sœur Catherine Labouré, réussit, avec l’autorisation de Mgr de Quelen, archevêque de Paris, à faire frapper la médaille réclamée par la Vierge à cette Fille de la Charité lors de ses apparitions du 27 novembre et du début décembre 1830 rue du Bac. Nul ne peut imaginer le fulgurant succès, bientôt universel et qui ne se démentira jamais, d’un objet de piété parmi tant d’autres. Nous parlons de la médaille miraculeuse.

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