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C’est arrivé un 28 juillet : Jean-Sébastien Bach rend l’âme à son Créateur

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Statue de Jean-Sébastien Bach au pied de la Thomaskirche à Leipzig (Allemagne)

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Gabriel Privat - publié le 27/07/20 - mis à jour le 25/07/24
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C'était le 28 juillet 1750. Jean-Sébastien Bach, le brillant compositeur, s’éteignait dans la misère, après avoir créé une musique à la louange de Dieu. Tombée dans l’oubli, son œuvre retrouva la gloire grâce à l’admiration que lui portèrent les plus grands compositeurs européens.

D'après Goethe, la musique de Bach donne l'impression "d'assister aux entretiens de Dieu avec lui-même juste avant la Création". Ces quelques mots souvent répétés rapportent bien la réalité de la puissante maîtrise technique du maître de Leipzig, alliée à la virtuosité de ce génie musical imprégné du Christ jusqu'au plus intime de son être. Jean-Sébastien Bach, en effet, a porté à son paroxysme l’offrande de la musique au service de la gloire de Dieu, dans une Allemagne protestante et musicale dont il était le pur produit.

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