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Et si vous boostiez votre vie spirituelle sur les pistes au SkiSpi ?

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Agnès Pinard Legry - publié le 13/12/19
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Fondé à Paris par le père Lecourt en 2002, le camp SkiSpi a pour but de permettre aux jeunes de 10 à 25 ans de partir une semaine à la montagne pour skier… et rendre grâce. « C’est une expérience incroyable qui, à chaque fois que j’y vais, me dynamise dans ma foi », se réjouit auprès d’Aleteia Balthazar, 17 ans, qui en est à son sixième camp Ski Spi.

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Vous les avez peut-être déjà vu dévaler les pistes de la Clusaz ou de Serre-Chevalier, lors des vacances de février, en entonnant des chants de louange. Chaque année, ils sont ainsi plus de 300 jeunes, âgés de 10 à 25 ans, a participer à un camp SkiSpi. Le principe est simple : « Permettre aux adolescents de suivre une semaine de retraite spirituelle et de rencontres amicales dans le cadre privilégié de la montagne ». Balthazar, 17 ans, en est à son sixième camp. « Je n’ai pas pu partir l’année dernière mais j’ai hâte d’y aller en février », se réjouit-il. « J’ai grandi dans une famille catholique et je fais du scoutisme », explique le jeune homme. « Quand j’ai entendu parler de ce camp, ça m’a tout de suite séduit. La première année j’y suis allé avec deux amis. Aujourd’hui nous sommes une bande d’une trentaine et l’ambiance est extraordinaire ! Nous sommes tous rassemblés autour des mêmes valeurs et finalement sans se connaître on se connait déjà tous ».

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SkiSpi

Chaque journée commence par un temps de louange et un temps d’enseignement. Ensuite direction les pistes où les jeunes sont répartis par groupes de niveau et d’âge avec un animateur pour aller skier. « J’aime beaucoup skier et je dois dire que cette semaine me permet d’en profiter un maximum : les domaines skiables sont grands et l’ambiance est bonne », reprend Balthazar. Les domaines sont grands En fin de journée, une messe leur est proposée et, après le dîner, une veillée festive. Au milieu de la semaine, une ‘journée pour Dieu’ leur est proposée. Ce jour-là, les jeunes sont invités, à travers des temps de réflexion, des jeux et une nuit d’adoration, à se rapprocher de Dieu. « Le camp SkiSpi fait partie des moments qui reboostent sa foi », explique à Aleteia Jacques de Tristan, qui a été animateur de ses 17 à ses 23 ans. « Pour 150 jeunes il y a une trentaine d’animateurs et entre quatre et cinq prêtres. Ici la phrase “donner pour recevoir” prend clairement tout son sens. Personnellement, je trouve que les conversations avec les jeunes autour de la foi se nouent facilement, au détour d’un télésiège. Et puis, à 150, l’ambiance de prière est exceptionnelle ». Que ce soit en tant qu’animateur ou en tant que jeune participant, la conclusion est unanime : « C’est un booster spirituel et de joie énorme ! », assurent Jacques et Balthazar.

« J’ai commencé par y envoyer ma fille aînée lorsqu’elle était en classe de cinquième », explique de son côté Anne Frédérique Doyer. « Voyant qu’elle a accroché directement, j’y ai envoyé ma seconde dès la classe de sixième… qui a témoigné du même enthousiasme ! ». Outre le fait d’y retrouver leurs amis, le cadre a de quoi séduire. « Bien sûr, comme son nom l’indique, c’est un camp spirituel. Mais les jeunes n’y voient pas une contrainte : il y a des temps de louange, d’écoute de la Parole, une petite mission d’évangélisation… Mais le fait d’être entouré de jeunes de leurs âges fait qu’elles ne voient pas ce côté spirituel de la même manière que si elles étaient avec nous, leurs parents ! ».

« Quand on les récupère après cette semaine, elles débordent de joie et sont force de proposition pour les prières du soir », confie encore cette mère de famille. « L’Esprit saint infuse en elles et elles diffusent autour d’elles ». Sa dernière fille a, quant à elle, moins accroché avec le concept du camp SkiSpi. « Elle était en CM2, peut-être était-elle un peu jeune… », reconnaît Anne Frédérique. « Mais elle s’épanouit dans d’autres mouvements. Dans un cas comme dans l’autre, je suis époustouflée par la variété de mouvements qui existent pour les jeunes, pour nourrir leur foi. En tant que parents nous devons leur proposer mais c’est à eux de prendre la décision d’y aller. Et les résultats sont là : après une semaine de Ski Spi, la maison résonne de chants de louange ! »

En partenariat avec

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