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Marthe Robin : celle qui a reçu les stigmates de la couronne d’épines

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Catherine Soudée - publié le 22/11/16
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Une bande dessinée raconte la vie de Marthe Robin, mystique française du XXe siècle.Cette belle bande dessinée retrace de nombreux éléments de la vie de Marthe Robin, une mystique française du début du XXe siècle, qui a fondé les foyers de charité. On y découvre de nombreuses petites anecdotes de sa vie, qui se succèdent, comme des étincelles !

Un bande dessinée aussi bien pour les enfants que pour les adultes 

Cette bande dessinée est idéale pour découvrir la vie et la personnalité de Marthe Robin et elle s’adresse aussi bien aux enfants qu’aux adultes . Les dessins sont beaux, épurés, les couleurs harmonieuses, les visages élégants et les paysages magnifiques. Depuis l’enfance de Marthe Robin jusqu’à sa vie adulte, on découvre l’histoire de sa vie grâce à une succession de petits témoignages de ceux qui l’ont connue.

Apparition des stigmates

Quel était le caractère de Marthe Robin ? Comment vivait-elle, comment priait-elle ? Nous découvrons dans cette bande dessinée sa spiritualité, des prières, des méditations et des lettres qu’elle a écrites. Le Seigneur lui a proposé un jour d’être comme elle. À partir de ce moment, elle a commencé à saigner de la tête : c’était les stigmates de la couronne d’épines. Tous les jeudis, elle revivait la passion du Christ dans de grandes angoisses, à la suite de Jésus.

Elle a rencontré de nombreuses personnes, dont le curé de sa paroisse qui était troublé par ces manifestions étranges. Durant ces rencontres, elle lui a demandé d’ouvrir une école, ce qu’il a accepté de faire. Puis elle a rencontré le père Finet à qui elle a demandé d’ouvrir le premier foyer de charité, et d’y prêcher des retraites de six jours en silence.

Marthe ne se nourrissait que de l’Eucharistie

Marthe Robin a aussi profondément souffert dans sa vie familiale puisque son frère, qui souffrait de névralgies faciales, s’est suicidé. Marthe avait la particularité de ne nourrir exclusivement de l’Eucharistie. Les personnes venaient de loin pour la rencontrer, et écouter ses conseils. Comme Thérèse de Lisieux, à sa mort, Marthe Robin a promis de continuer à faire du bien sur la Terre. On découvre aussi dans cette bande dessinée des témoignages anciens ou récents de personnes sauvées ou aidées par l’intercession de Marthe, que se soit de son vivant ou après sa mort.

Comme des étincelles : une vie de Marthe Robin, scénario Christophe Hadevis, dessin et couleur : Derbi, Editions Emmanuel, Editions les Foyers de Charité, 2016, 48 pages, 15 euros.

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