« J’étais enceinte de huit semaines et, pendant trois semaines, j’ai vécu une véritable agonie, ne sachant pas si je gardais le bébé ou si j’avortais (je n’étais pas en état d’avoir des enfants à ce moment-là) ; mais vous m’avez permis de remettre ma vie en perspective. Je peux aimer ce bébé et "me débrouiller", et ceci me suffit pour le moment. Je vais garder l’enfant que je porte et m’en occuper pour l’éternité. »
Ces photos de Walter montrent que l’enfant à naître est un être humain. Elles prouvent, sans l’ombre d’un doute, qu’il s’agit d’une personne, pas d’un amas de cellules. Ce qui soulève la question suivante : pourquoi la loi autorise-t-elle à mettre fin à la vie d’un être humain à naître ? « Le simple fait que l’enfant in utero ne puisse être vu ne signifie pas qu’il n’est qu’un agglomérat de cellules, écrit Lexi. Walter était parfaitement formé et se montrait très actif dans mon ventre. S’il avait eu quelques semaines de plus, il aurait même eu une chance de survivre. (…) Malgré notre douleur, je me réjouis que quelque chose de bon puisse en sortir. Je prie le Seigneur qu’Il continue à utiliser les photos de Walter pour toucher d’autres personnes. »Pour voir toutes les photos mises en ligne par Joshua et Lexi, cliquez-ici