L’Etat Islamique a tué ses fils et ses filles ont été enlevées. Ce pauvre homme de la communauté Yezidi a tout perdu et pleure aujourd’hui sa famille : "Pour qui est-ce que je vis maintenant ? Avec qui devrais-je continuer de vivre ? O Seigneur, tu vois mon coeur brisé ! Je dirai juste une chose : pardonne-leur !"
En Irak, chaque jour de plus est et demeure un jour de trop pour celles et ceux qui souffrent, ont perdu leurs proches et ont dû abandonner tous leurs biens derrière eux. Trop peu d’aide, trop tard… Les paroles de la communauté internationale restent globalement vaines, et le silence de pays tels que l’Arabie Saoudite ou le Qatar, ainsi que de la Ligue Arabe, reste aussi assourdissant que celui des grandes puissances occidentales, qui se contentent de bien peu pour aider les réfugiés et armer ceux qui leur résistent encore.
Adapté de l’édition arabophone d’Aleteia.
La fête du jour