En mars dernier, le monde entier s'était ému en apprenant que la princesse de Galles souffrait d'un cancer et suivait une chimiothérapie préventive. Après neuf mois de traitement éprouvants, Kate Middleton a partagé sur son compte Instagram une vidéo très personnelle, bien loin du protocole strict cher à la Couronne britannique, qui met en scène des moments doux de sa vie familiale, des manifestations de joie simple avec ses enfants, ainsi que des gestes de tendresse avec le prince William.
Kate Middleton revient sur le combat qu’elle a mené durant ces derniers mois et l’épreuve que cela a représenté pour elle et ses proches : "Les neuf derniers mois ont été incroyablement difficiles pour notre famille. La vie telle que vous la connaissez peut changer en un instant et nous avons dû trouver un moyen de naviguer sur les eaux tumultueuses et les routes inconnues."
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Elle en tire aussi des leçons où transparaissent beaucoup de gratitude et le désir de rendre grâce pour l’amour qui unit une famille : "C’est avec humilité que [le cancer] vous met également face à votre propre vulnérabilité, d'une manière que vous n'aviez jamais envisagée, et avec cela, qu’il vous donne une nouvelle perspective sur tout ce qui vous entoure. Cette période nous a surtout rappelé, à William et à moi, de réfléchir et d’être reconnaissants envers les choses simples mais importantes de la vie, que tant d'entre nous considèrent comme acquises. Le simple fait d'aimer et d'être aimé."
Elle invite enfin tous les malades à partager la joie de l’espérance chrétienne, filant la métaphore biblique des ténèbres et de la lumière : "À tous ceux qui poursuivent leur propre parcours contre le cancer, je reste avec vous, côte à côte, main dans la main. De l'obscurité peut naître la lumière, alors laissez cette lumière briller". Une phrase qui fait écho à cette parole de l’Évangile de Jean sur le commencement du monde : "En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée" (Jn 1, 4-5).
