Le chapelet de la Face sacrée de Jésus, pour apprendre à aimer

Le chapelet de la Face sacrée de Jésus utilise le chapelet traditionnel, c’est-à-dire celui qui comprend cinq dizaines de petits grains pour le Je vous salue Marie, précédées chacune d’un grain plus gros pour le Notre Père. Partant de l’un des grains plus gros, une branche terminale comporte trois petits grains Je vous salue Marie, un gros Notre Père et un crucifix.

Si on ne connaît pas celui qui a composé précisément ce chapelet, il a su toucher dans ses prières le sens profond de la dévotion à la face sacrée de Jésus, similaire à celle de la sainte face de Jésus. Objet d'un grand culte depuis toujours, c’est surtout depuis 1851 qu’elle s’est répandue grâce notamment à Léon Dupont et à une religieuse carmélite, sœur Marie de Saint-Pierre. Tous les deux vivant à Tours, ils ont consacré leur vie de foi au service de cette cause.

Contempler le visage du Christ, c’est voir Dieu. « Qui m’a vu a vu le Père » (Jn 14, 9). « Voir l’homme, confesser Dieu », explique saint Augustin. Pour lui, l’humanité de Jésus permet de le connaître et donc de l’aimer. Prier le chapelet de la Face sacrée de Jésus, c’est le connaître un peu plus pour apprendre à L’aimer mieux.

On commence par la prière suivante :

On laisse dans un premier temps de côté les quatre premiers grains. Sur les grains du Je vous salue Marie, on récite l’invocation suivante, en fonction de la dizaine :

Première dizaine :

Deuxième dizaine :

Troisième dizaine :

Quatrième dizaine :

Cinquième dizaine :

Sur les grains du Notre Père, on récite la prière suivante :

On termine le chapelet sur les cinq grains du début. Sur les deux gros grains du Notre Père, on récite la prière déjà vue :

Ensuite, sur chacun des trois petits grains du Je vous salue Marie, on récite la prière proposée par le pape Pie X :

Et à la fin du chapelet, on récite la prière suivante :

Avant de devenir la princesse Grace de Monaco, Grace Kelly a été la grande actrice célébrée par Hollywood. Troisième d’une famille de quatre enfants, Grace avait reçu une éducation au couvent des dames de l’Assomption de Philadelphie. Elle en a gardé une foi fervente. Pas étonnant que le jour de son mariage avec le prince Rainier de Monaco, le 20 avril 1956, elle a tenu à déposer son bouquet de la mariée devant la statue de la Vierge au pied de laquelle elle a prié un moment.