Pour qu'Aleteia poursuive sa mission, faites un don déductible à 66% de votre impôt sur le revenu. Ainsi l'avenir d'Aleteia deviendra aussi la vôtre.
*don déductible de l'impôt sur le revenu
"C’est décidé, j’arrête Netflix… mais bon, juste le temps du Carême!", lance Marie, 30 ans, mariée et mère de deux enfants. Un effort que cette jeune femme poursuit chaque année, non sans difficulté. "Déjà adolescente, quand mes parents m’imposaient 40 jours sans télévision, c’était un supplice alors aujourd’hui devenu adulte et accro aux séries, cette pause est encore plus difficile à vivre", confie-t-elle.
Depuis qu’elle est mariée à Jean, elle se sent moins seule dans cet effort. Son époux a en effet choisi de la rejoindre dans sa décision de couper Netflix jusqu’à Pâques. Et les deux époux savent qu’ils ne "souffrent" pas pour rien. "Avec mon mari, nous avions pour habitude de regarder un épisode de notre série préférée une fois que les enfants étaient endormis. Depuis le début du Carême, nous avons totalement revu notre organisation du soir. Nous avons repoussé l’heure du coucher de nos garçons d’une vingtaine de minutes pour leur parler du Carême et de la grande fête à laquelle il prépare", raconte la trentenaire.
Et une fois que les enfants sont endormis, le couple s’offre un temps de prière, lit la Parole de Dieu et la médite. "Prier en famille, ça, nous le faisions depuis la naissance de notre aîné. En revanche, prier en couple, on ne le fait quasiment jamais. Cette coupure de Netflix nous aide à pratiquer la prière conjugale. Qui sait, peut-être qu’avec un peu de temps, nous parviendrons enfin à prier en couple en dehors du Carême!", conclut Marie.