separateurCreated with Sketch.

Comment accepter la perte d’autonomie ?

Yellow Title Icon
Article réservé aux membres Aleteia Premium
old person
whatsappfacebooktwitter-xemailnative
Anna Ashkova - publié le 22/02/22
whatsappfacebooktwitter-xemailnative
La perte d’autonomie est le résultat naturel du vieillissement, même si elle peut survenir aussi suite à un accident ou une maladie. Difficile à accepter par certaines personnes, elle peut cependant être anticipée et vécue sereinement sous le regard du Seigneur.

La meilleure façon de ne pas subir la perte d’autonomie, qui va souvent de pair avec le vieillissement, est de l’anticiper, comme l'indique à Aleteia Véronique Verges-Cousin, médecin gériatre au sein de la Maison des Aînés et des Aidants à Paris. « La perte d’autonomie n’arrive pas d’un coup. La personne devient petit à petit fragile : perte de mobilité avec des chutes, troubles cognitifs débutants, oublis, incontinences. Il lui devient impossible de faire certains actes comme gérer son administratif sans difficulté, prendre les transports en commun sans appréhension, conduire sa voiture, gérer ses traitements et sa prise de médicaments… C’est que l’on appelle des activités instrumentales. Puis, il y a aussi l’autonomie de mobilité, c’est-à-dire l’impossibilité de marcher, de s’habiller, de faire sa toilette. Toutes ces fragilités peuvent se prévenir », rassure la spécialiste.  

Vous aimez le contenu de Aleteia ?

Aidez-nous à couvrir les frais de production des articles que vous lisez, et soutenez la mission d’Aleteia !

Grâce à la déduction fiscale, vous pouvez soutenir le premier site internet catholique au monde tout en réduisant vos impôts. Profitez-en !

(avec déduction fiscale)