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Célibataires : les trois phrases choc de Guilhem et Clémence pour croire à l’amour

Guilhem et Clémence de Gevigney

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Mathilde de Robien - publié le 08/12/20
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Guilhem et Clémence de Gevigney, 37 et 33 ans, sont mariés depuis trois ans. En trois phrases percutantes, fruit de leur réflexion et de leur expérience personnelle, ils exhortent à croire à l’amour.C’est par le Verbe que tout commence et Guilhem et Clémence de Gevigney en sont intimement convaincus. Ils ont tous deux inclus dans leur parcours professionnel l’accompagnement à la prise de parole : Guilhem est coach professionnel et formateur à l’art oratoire, tout en se formant pour devenir psychothérapeute, tandis que Clémence, comédienne et metteur en scène, voit dans le théâtre un formidable outil pour apprendre à s’exprimer. Outre leurs trois années de mariage et beaucoup d’autres choses, ils ont en commun ce désir d’inviter chacun à oser, à commencer par oser prendre la parole. C’est dans cette optique qu’ils animeront ensemble une visioconférence organisée par Theotokos, premier site de rencontre chrétien, dimanche 13 décembre prochain de 18h30 à 20h, intitulée “Ce que les femmes attendent des hommes“. Des réflexions en petits groupes mixtes et non mixtes alterneront avec des séances plénières pour mettre en perspective les fruits des réflexions masculines et féminines sur le désir des femmes. Tous deux ont à cœur de témoigner que l’amour est accessible à tous, et l’ont confié à Aleteia.

1.
« On a toujours raison de croire à l’amour »

Ces mots ne sont pas de lui, avoue Guilhem, mais d’un prêtre qui lui est cher et qui les a mariés, le père François Potez. Une invitation à ne jamais perdre espoir, à croire que l’amour est toujours possible et ne fait jamais défaut. Cependant, Guilhem souligne que cela ne se fait pas en un claquement de doigt et suppose de vivre d’abord « une aventure dans son intériorité pour rendre possible la rencontre ». Il s’agit en premier lieu de faire de la place en soi. « Nous sommes encombrés de nous-même, de notre travail, de notre famille, de nos amis… Or il est nécessaire de faire de la place pour accueillir l’autre », précise-t-il.

2.
« Mon bonheur dépend de moi »

Les deux jeunes mariés sont formels : le bonheur ne dépend pas d’un autre mais de soi. Le bonheur se trouve à l’intérieur de soi. « L’autre vient comme une surabondance », complète joliment Clémence. Si l’on veut aimer, il est primordial de s’aimer d’abord soi. Cela suppose de panser d’éventuelles blessures, telles que les distingue Lise Bourbeau dans son livre « Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » : le rejet, l’abandon, la trahison, l’injustice et l’humiliation.

3.
« Si Dieu met un désir dans notre cœur, il n’y a pas de raison pour qu’il ne soit pas réalisé »

Pour les chrétiens, il y a une autre raison de croire à l’amour. C’est là que le Seigneur entre en jeu. Il est la source de tout amour et c’est lui qui place dans le cœur de chacun cette aspiration profonde à aimer. Ne pas croire en la réalisation de cette aspiration, ne serait-ce pas douter de sa puissance et des projets qu’il forme pour chacune de ses créatures ? Il est peut-être simplement le temps d’oser les mettre en œuvre.

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