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Près de 1.600 étudiants désireux de réfléchir au sens de la vie ont repris les cours publics de l’École cathédrale, l’une des institutions du Collège des Bernardins. Écriture Sainte, Tradition de l’Église, théologie, philosophie… chacun construit son propre parcours de formation, sur place ou à la maison.
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“Aider nos étudiants à structurer leur vie de foi intellectuellement”. C’est ainsi que le père Jean-Philippe Fabre, docteur en théologie, décrit l’objectif des près de 80 formateurs de l’École cathédrale dont il est le directeur. Avec plus de 130 cours publics, dont 32 à distance, la formation qu’il dirige propose à tous ceux qui le souhaitent de se former théologiquement, qu’ils soient engagés dans le monde professionnel ou non.
Davantage de cours le soir et le samedi matin
Depuis plusieurs années, la majorité des cours sont proposés en journée et rencontrent un large succès. C’est pourquoi l’École Cathédrale a décidé d’élargir son éventail cette année, pour toucher de nouveaux publics. “Nous voulons permettre aux personnes qui ne sont pas disponibles en journée d’assister à nos cours, c’est pourquoi avons renforcé notre offre du soir et du samedi matin”, explique le père Jean-Philippe Fabre à Aleteia.
Nos étudiants nous disent combien leur foi grandit parce qu’ils parviennent davantage à dire qui est Jésus, à mettre des mots sur leur foi et rendre compte de l’espérance qui est en eux.
Sur les 1.600 inscrits, près de 300 ont opté pour les cours du soir. Un chiffre qui pourrait encore grossir, puisque l’École Cathédrale vise à former 2.000 personnes au total. Toujours dans un souci de souplesse, de nombreux cours sont proposés à distance, et chacun est invité à bâtir son propre parcours, afin de trouver une cohérence dans sa formation théologique et chrétienne.
Mettre “des mots et des concepts” là où se trouve la foi
Conçue pour “satisfaire une curiosité” et “répondre aux questions de chacun”, cette formation a surtout pour mission de “mettre des mots et concepts” là où se trouve la foi, afin de l’approfondir et de la structurer. “Nos étudiants nous disent combien leur foi grandit parce qu’ils parviennent davantage à dire qui est Jésus, à mettre des mots sur leur foi et rendre compte de l’espérance qui est en eux”, commente ainsi le père Jean-Philippe Fabre.
Quelqu’un qui est très convaincu mais qui a un mauvais degré de connaissance peut assez facilement tomber dans les extrémismes.
Il ajoute : “On a souvent cette idée qu’avoir une plus grande foi, c’est avoir une plus grande conviction. Jésus dit toujours que la foi n’est pas d’abord un degré de conviction, mais que c’est un degré de connaissance. Quelqu’un qui est très convaincu mais qui a un mauvais degré de connaissance peut assez facilement tomber dans les extrémismes.”
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Loin de tout élitisme, les cours publics de l’École Cathédrale sont d’ailleurs ouverts au plus grand nombre… et même aux plus jeunes. Le samedi matin, en parallèle des cours classiques pour les adultes, les “ateliers des petits bernardins” prennent en charge les enfants et les collégiens. Avec un objectif ambitieux : “Que le déjeuner de midi puisse permettre un échange sur ce qui a été fait dans la matinée”.
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