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Perceval, 20 ans.
« Nous sommes ici parce qu’il y a des enfants qui peuvent naître sans père, et c’est impensable », affirme l’étudiant parisien. « Nous sommes inquiets pour l’avenir et c’est pour cela qu’on se motive à venir un dimanche après-midi et qu’on motive nos copains. Nous voulons montrer que nous sommes là et que nous ne comptons pas nous laisser marcher dessus. »
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