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Loys célébrant un enterrement, 2 septembre 1918.
"Donner aux morts la tenue la meilleure en leur fermant les yeux, la bouche, en croisant ses [sic] bras. Voilà l’une de mes tristes besognes. Jamais je ne l’accomplis sans prier Dieu pour ces victimes et maudire la guerre."
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