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  • Sainte Barbe, (IIIe siècle) fut victime de son propre père, qui s’est porté volontaire pour lui couper la tête. Il est foudroyé juste après l’avoir exécutée. © Wikimedia
  • La condamnation de saint Côme et saint Damien fut presque une épreuve pour les bourreaux : précipités du haut d’un rocher, ils sont repêchés par un ange. Ils sont ensuite jetés dans une fournaise, mais leur pieds ne sont pas brûlés. Ils finissent décapités. © Wikipedia
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  • Saint Cyprien était évêque à Carthage au IIIe siècle. Il dut oeuvrer lui-même à sa décapitation, en offrant 25 pièces d’or à son bourreau dont les bras tremblaient. © Lawrence Lew CC
  • Sainte Blandine (IIe siècle) a été condamnée à mort par l'empereur Marc Aurèle. Mais cette mise à mort ne s'est pas déroulée comme prévu, le grill ne l'a pas brûlée, le lion n'a l'a pas mangée. Et c'est entre les cornes d'un taureau qu'elle a trouvé la mort. © Lionel AMANS/CIRIC
  • Premier évêque de la capitale de France, Saint Denis est un céphalophore. Autrement dit, suite à sa décapitation, il a marché de Montmartre jusqu’à Saint Denis avec sa tête sous le bras.
  • Saint Léger était conseiller de la veuve de Clovis. Pour épargner ses fidèles, il se livre aux Mérovingiens. Ceux-ci lui  brûlent les yeux, lui arrachent la langue, et le font traîner nu dans les rues. Il est décapité deux ans plus tard. © Public Domain
  • Saint Martinien, et son ami Processus, ont été  condamnés pour avoir été complices de la fuite de saint Pierre et saint Paul, alors qu’ils étaient leurs geôliers. Ils ont le visage meurtri, subissent le chevalet, le fouet, la bastonnade, le feu et les scorpions avant d’être décapités. © Valentin de Boulogne (1591–1632) est un artiste français, considéré comme le plus brillant des peintres à la suite de Caravage. Il reçut de prestigieuses commandes, de certains papes mais également de Louis XIV ou de Mazarin. / Pinacoteca Vaticana
  • Saint Léonce, était un ami du moine Publius avec qui il entreprend d’évangéliser la région de Tripoli.  Ce qui lui vaut d’être condamné à une mort très douloureuse pour faits de prosélytisme. Il est plongé dans de l’eau salée après avoir été flagellé avec des épines. Une autre version raconte qu’il a été pendu par les pieds avec une lourde pierre attachée à son cou.
  • Saint Tropez fut converti par saint Paul alors qu’il occupait un poste important à Rome, sous le règne de Néron. Il professe solennellement sa foi lors d’une fête organisée par l’empereur, qui ordonne alors sa mise à mort. Mais les fauves se couchent à ses pieds, et la colonne à laquelle il est attaché pour être flagellé se brise et tue son bourreau. Il est finalement décapité. Son corps est déposé dans une barque avec un chien et un coq censés se repaître du corps du défunt. Mais lorsque la barque échoue sur le rivage, le corps est retrouvé intact, et enterré. La ville prend alors le nom de Saint-Tropez. © MOIRENC CAMILLE / HEMIS.FR /
Sainte Barbe, (IIIe siècle) fut victime de son propre père, qui s'est porté volontaire pour lui couper la tête. Il est foudroyé juste après l'avoir exécutée. © Wikimedia
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