Au stade Kasarani de Nairobi, le 27 novembre 2015 :
« La corruption est quelque chose qui rentre à l’intérieur de nous-mêmes. Elle est comme le sucre : il est doux, il plaît, il est facile, et après on finit mal. Avec beaucoup de sucre facile, on finit diabétique et notre pays aussi devient diabétique ».