Solide, enraciné, capable de traverser les saisons et de protéger ce qui l’entoure… Le cèdre, dans la tradition biblique, est le symbole de la force paisible et de la croissance harmonieuse. C’est ce même esprit qui anime Le Cèdre, un groupement d’achats unique en son genre en France, dont la vocation va bien au-delà d’un simple business model qui repose sur la mutualisation des achats. Depuis plus de 25 ans, Le Cèdre accompagne près de 12.000 structures adhérentes – congrégations religieuses, établissements scolaires, maisons de retraite, associations caritatives, collectivités locales – dans la gestion de leurs achats. Ensemble, ces structures forment une communauté solidaire, portée par une vision : mutualiser les besoins pour rendre le meilleur accessible à tous.
Basé à Paray-le-Monial (Saône-et-Loire), mais rayonnant dans toute la France, Le Cèdre compte 200 collaborateurs aujourd’hui. "L’entreprise n’a jamais cessé de recruter, se félicite la direction. Nous ouvrons une dizaine de postes chaque année". Au Cèdre, les effectifs ont progressé de 8 % en moyenne ces cinq dernières années et tous sont engagés dans une mission à la fois professionnelle et humaine : négocier, accompagner, conseiller, tout en restant fidèles à des valeurs fortes.
“Quand je suis arrivée ici, je me suis sentie attendue. Jamais je n’avais connu une prise de poste aussi fluide.”
Responsable de marchés au sein de l’univers "bâtiment", Sophie Teixeira, 39 ans, a rejoint l’entreprise en août 2023. Après plusieurs années dans la grande distribution et le textile, elle cherchait autre chose. "Dans la grande distribution chaque salarié est un numéro", confie l’acheteuse à Aleteia. "Je cherchais une entreprise conciliant le dynamisme que j’avais pu rencontrer dans mes précédentes expériences professionnelles mais avec de solides valeurs humaines." Elle se souvient particulièrement de sa première journée de travail. "Quand je suis arrivée ici, je me suis sentie attendue. Mon bureau était prêt avec mon ordinateur, mon chef avait prévu de déjeuner avec moi et a pris le temps dans les jours qui ont suivi de me former, de m’introduire auprès des personnes référentes etc. Jamais je n’avais connu une prise de poste aussi fluide."
Un point de vue que partage volontiers Thomas Kayser, commercial, délégué régional Centre-Val de Loire au Cèdre. Âgé de 24 ans, il a rejoint l’entreprise dès la fin de ses études. Étudiant en école de commerce à l’EMD Marseille, il découvre le Cèdre alors qu’il est en alternance dans l’une des structures adhérentes. "L’entreprise m’a tout de suite plu par son esprit, sa taille, les gens qui la composaient", assure-t-il, enthousiaste, à Aleteia.
Rendre le meilleur accessible au plus grand nombre.
Le Cèdre négocie chaque année plus de 675 millions d’euros d’achats mutualisés auprès de plus de 400 fournisseurs référencés. L’électricité, la restauration, les produits d’hygiène, les assurances, le traitement des déchets ou encore les travaux de rénovation énergétique font partie des nombreuses familles d’achat couvertes. L'expertise comme la cohérence éthique des choix opérés sont particulièrement fortes : pas de compromis sur la qualité du service apporté, le respect des personnes, ni sur l’impact environnemental. Le modèle repose sur un principe simple : mutualiser les besoins pour rendre le meilleur accessible au plus grand nombre. Un établissement isolé n’a souvent ni le temps ni les moyens de négocier des contrats avantageux ; en rejoignant Le Cèdre, il accède non seulement à des tarifs compétitifs, mais aussi à une expertise, un accompagnement, un réseau.

Mais ce qui fait la particularité du Cèdre, ce n’est pas seulement son efficacité. C’est son âme. À contre-courant des logiques purement marchandes, l’entreprise défend une économie respectueuse de l’Homme, du travail et de la Création. Elle incarne une vision chrétienne du service, sans jamais l’imposer, mais en la vivant au quotidien, dans la proximité avec ses adhérents, dans la simplicité des relations ainsi que dans l’attention et l’exigence portées sur le travail de chacun. Sur l’un de ses marchés, la construction modulaire, le travail de Sophie Teixeira est ainsi de négocier des prix afin que l’adhérent puisse acheter le produit ou le service qui corresponde à son besoin et au bon prix. "Au Cèdre je suis encouragée à conseiller à nos adhérents une gamme car cela correspond à leurs besoins même si cela est moins cher et que notre rémunération est plus faible. Et on le voit sur des réunions d’équipe ! Notre direction nous dit sans problème "On a perdu en chiffre d’affaires mais on a fait une bonne négociation pour nos adhérents donc on peut se réjouir !" "
Autre exemple, ces dernières années, le chiffre d’affaires du Cèdre a progressé en raison de l’inflation des prix de ses fournisseurs. Mais depuis un an les tarifs diminuent ce qui entraîne une perte de chiffre d’affaires pour le Cèdre. "Loin de me mettre la pression, mon N+2 m’a dit de renégocier – et donc à la baisse – les tarifs auprès de nos fournisseurs pour le compte de nos clients." Un constat entièrement partagé par Thomas Kayser. "Cela m’a beaucoup frappé dans le business model du Cèdre. Il s’agit d’une entreprise à but lucratif c’est-à-dire qui génère de l’activité et du chiffre d’affaires. Mais tout cela est très vertueux. Tout le monde est gagnant : les adhérents sont gagnants car on les sécurise dans leurs achats, ils font des économies et bénéficient d’une certaine protection. Les fournisseurs le sont également car nous sommes apporteurs d’affaires pour eux !"
Une attention sincère portée à chacun
Ici enfin, la direction et les managers de l’entreprise ont bien compris le cercle vertueux entre soin porté aux collaborateurs et performance de l’entreprise. "Cela fait partie de mes objectifs de l’année de rencontrer mes fournisseurs", reprend Sophie Teixeira. "J’ai beaucoup de liberté dans ma manière de travailler, de fonctionner. Et nous communiquons énormément sur cela : l’objectif est de partager les bonnes pratiques." "J’entretiens d’excellentes relations avec ma hiérarchie", abonde le jeune commercial. "Mon chef me tire vers le haut et me donne un cadre clair qui me permet de savoir où aller et d’avancer ensemble." L’épanouissement professionnel des collaborateurs est pris au sérieux, avec des horaires respectueux, un environnement de travail convivial, et une attention sincère de faire grandir chacun. L’entreprise attire des profils venus de secteurs très variés, souvent en quête de sens.
Beaucoup témoignent d’un sentiment rare : celui de travailler utile, en cohérence avec leurs valeurs. 35 % des résultats de l’entreprise sont par ailleurs distribués aux collaborateurs. Une politique qui plaît au jeune délégué régional Centre-Val de Loire : "Le Cèdre sait mettre en place des actions pour nous fidéliser. Concernant le salaire, par exemple, c’est une rémunération juste, à la hauteur des compétences de chaque salarié. Nous bénéficions également d’un plan d’épargne entreprise avantageux." Alors que de plus en plus de professionnels cherchent à concilier efficacité et engagement, emploi et éthique, Le Cèdre apparaît comme une réponse concrète, stable, et inspirante. Comme un cèdre, justement : solide, enraciné, et tourné vers l’avenir.
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