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Le scapulaire de Sainte-Anne a enfin rejoint la Troménie !

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Irène de Château-Thierry - publié le 23/04/25
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Parti à Pâques du sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray, le scapulaire de Sainte-Anne a enfin rejoint la grande Troménie, le 23 avril. Symbole fort de service et de foi, il fait le lien entre chaque étape traversée jusqu’à la célébration du Grand pardon jubilaire, le 26 juillet. Le scapulaire de Sainte-Anne a enfin rejoint la Troménie !

PAPE LÉON XIV

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Il fait le lien entre chaque étape du parcours et le sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray, d’où il est parti à Pâques. Le scapulaire accompagne chaque jour la Troménie, qui visite du 7 mars au 26 juillet toutes les paroisses du diocèse. Il est porté par le prêtre de la paroisse accueillante lors de la messe d’envoi du matin. Le mercredi 23 avril à Langonnet, c’est le père Christian qui l’a fièrement arboré. Conçu comme un tablier de service, ce scapulaire se porte par-dessus la chasuble du célébrant.

Sa couleur bleue a été pensée pour s’adapter à toutes les couleurs liturgiques auxquelles il sera superposé. Il s’agit du bleu dit "Sainte Anne", choisi par Yannig Guillevic. C’est aussi la couleur du devant de la nouvelle bannière jubilaire, bénie le 7 mars au départ de la Troménie, et présente dans le chœur de la basilique tout au long du jubilé. Le scapulaire porte, au dos, la sainte Anne ternaire de la bannière — peinte par Yannig Guillevic — et, à l’avant, une croix celtique dessinée d’après celle qui orne le sommet du mémorial de Sainte-Anne-d’Auray. Il fait également écho au verset inscrit sur la porte du jubilé Sainte-Anne : "Me voici, Seigneur, pour faire ta volonté".

La sainte Anne ternaire représente Anne tenant Marie dans ses bras, elle-même portant l’enfant Jésus, qui pose la main sur le Livre. C’est lui, descendant d’une lignée humaine que sainte Anne incarne en tant qu’aïeule, qui est le Verbe de Dieu incarné, accomplissant les Écritures. Les motifs et la peinture sont signés Yannig Guillevic, les broderies de Céline Le Belz, et la confection de Bénédicte Clavier — le même trio d’artistes à l’origine de la bannière. Le scapulaire n’a pu rejoindre la Troménie qu’à Pâques, le motif principal ayant été peint sur tissu. Sa pérennité dépendait de plusieurs temps de séchage indispensables… Mais ce "retard" l’inscrit finalement avec justesse dans le rythme du temps liturgique. Le 26 juillet, il constituera l’ornement principal du président de l’assemblée du Grand pardon jubilaire.

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