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Après avoir dérivé 95 jours dans le Pacifique, Máximo rend grâce à Dieu pour sa survie

Heureuses retrouvailles de Máximo avec sa famille

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Florian Dunoguiez - publié le 22/03/25
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Máximo Napa Castro, pêcheur péruvien de 61 ans, a passé 95 jours, perdu en plein Océan Pacifique. Parti en décembre dernier de Marcona dans la région d’Ica (Pérou), son bateau a dérivé 95 jours en raison des mauvaises conditions météorologiques. Mais Máximo a finalement retrouvé ses proches le 15 mars dernier. Depuis, il ne cesse de rendre grâce pour sa survie.

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Máximo Napa Castro, pêcheur péruvien de 61 ans, avait pris le large le 7 décembre 2024 depuis Marcona, dans la région d’Ica (Pérou) qui borde l'Océan Pacifique. Mais depuis le 18 décembre dernier, sa famille était sans nouvelle, laissant présager le pire. Après une longue absence, alors qu’il était porté disparu, c’est avec grande émotion que ses proches l’ont vu revenir dans sa ville natale le 15 mars, à San Andrés, dans la province de Pisco."Je remercie Dieu de m’avoir donné cette chance de revenir", a-t-il confié à l’agence de presse Reuters.

Máximo avait suffisamment de provisions pour tenir plusieurs jours, mais sûrement pas trois mois. Il a dû faire preuve d’ingéniosité en pêchant et en se restreignant. Pendant les vingt derniers jours, pour s’hydrater, Máximo buvait aussi de l’eau de pluie et utilisait le bois de son bateau pour cuisiner le peu d’aliments qu’il avait.

Une éternelle reconnaissance

À son retour, Máximo a tenu à remercier sa famille et à leur exprimer tout son amour, notamment à sa mère, son frère et sa fille à qui il doit d’être resté en vie. "Ce qui m’a permis de survivre, c’est l’espoir de retrouver mes proches", a-t-il déclaré devant les caméras lors de son retour. Mais, surtout, Máximo n’a pas oublié de remercier Dieu, qui n’a jamais cessé selon lui de le soutenir tout au long de cette épreuve : "Dieu est bon, Dieu est grand, il m’a protégé, a-t-il témoigné en pleurs, profitez de la vie, faites en sorte que votre mère soit heureuse, et surtout, croyez en Dieu." "Espérer contre toute espérance" (Rm 4,18), Máximo et sa famille l’ont fait et peuvent aujourd’hui témoigner de la puissance de la foi et de la prière !


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