"Ce que nous accomplissons n’est qu’une goutte dans l’océan. Mais si cette goutte n’existait pas dans l’océan, elle manquerait." Les mots de Mère Teresa accompagnent quotidiennement la rédaction de Aleteia. Un quotidien qui se poursuit grâce aux dons généreux et réguliers que ses lecteurs peuvent faire à tout instant. Mais si ces dons financiers sont essentiels, d’autres formes de soutien, comme la prière, le sont tout autant. "Je suis une fidèle lectrice et admiratrice", écrivait à Aleteia il y a quelques jours sœur Christine. "Malheureusement, étant petite sœur des pauvres, je n’ai pas de compte en banque pour vous faire un don… Je paie en prière !". Cette prière est à n'en point douter la goutte d’eau dans l’océan qui manquerait à l’accomplissement de la mission de Aleteia si elle n’existait pas.
Nous venons à vous les mains pleines de nos prières.
Religieuse au carmel de Grand Bassam, en Côte d’Ivoire, sœur Marie-Aimée faisait part à Aleteia, il y a quelques semaines, de sa joie de lire de "si beaux textes et messages à longueur d’années". Mais en tant que carmélite, il lui est impossible de faire un don financier. Qu’à cela ne tienne : "Nous venons à vous les mains pleines de nos prières, surtout à saint Joseph", nous a assuré la religieuse. "Nous lui confions votre appel afin que des milliers de lecteurs vous répondent et vous soutiennent. Avec son épouse la Vierge Marie et l’Enfant Jésus, ils ont vécu l’exil, la fuite en pays étranger, le dur labeur de charpentier".
Et de reprendre : "Qu'ils vous comblent de tout ce qu'il vous faut pour continuer la route et l'évangélisation, soyez assuré de nos prières à vos intentions". Nul doute que ses mots et ses prières, et nous en recevons quotidiennement, au-delà de réchauffer les cœurs des membres de la rédaction, encourage à aller toujours plus loin dans la vocation missionnaire de Aleteia. Soyez-en vivement remerciés.