En 2009, alors qu’elle subit une chimiothérapie, une jeune Polonaise, Gabrysia Klimek, découvre qu’elle est enceinte. Après avoir longuement prié avec son mari, elle décide finalement de prendre le risque d’interrompre son traitement pour garder le bébé.
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En Pologne, ils l’appellent la “Gianna Beretta Molla polonaise”, du nom de cette sainte, morte en donnant la vie le 28 avril 1962, après avoir refusé l’avortement malgré un grave problème de santé. En 2009, alors qu’elle pense être stérile et qu’elle subit une chimiothérapie, Gabrysia Klimek découvre qu’elle est enceinte. Immédiatement la question se pose. Faut-il interrompre la chimiothérapie, au risque de mettre sa vie en danger, ou continuer, au risque de perdre le bébé ?
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Après avoir longuement prié avec son mari, ils décident de suspendre le traitement pour sauver la nouvelle vie. Aujourd’hui âgée de 9 ans, la petite Klara est en bonne santé. Gabrysia Klimek a survécu et voit sa fille grandir à ses côtés, malgré les lourds traitements que ses problèmes de santé lui infligent.
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