Louis S. un cadre parisien de 50 ans, père de famille ne maîtrisait plus sa vie et se sentait gagné par le stress qui l'étouffait. Une retraite au Bec Hellouin lui a permis de reprendre pied et depuis il consulte Aleteia quotidiennement pour avoir un petit bout de retraite spirituelle.
Réjouissez-vous ! L’article que vous allez lire est entièrement gratuit. Pour qu’il le demeure et soit accessible au plus grand nombre, soutenez Aleteia
*avec réduction fiscale
« Il y a quelques années, j’ai ressenti le besoin d’aller me couper du monde et de faire une pause. J’étais alors cadre dans un groupe de communication international, je passais ma vie entre les aéroports, les taxis, les rencontres avec des clients un peu partout dans toute l’Europe. Je n’avais plus de temps ni pour ma famille ni pour moi. Je vivais une course perpétuelle, avec des enjeux professionnels qui semblaient grandir en permanence au lieu de se réduire. Le stress m’étouffait, les voyages m’épuisaient, il était devenu indispensable que je prenne du recul. J’ai choisi le monastère du Bec Hellouin, pas trop loin de Paris mais pas trop proche non plus, pour ne pas être tenté de revenir trop facilement.
Retour aux sources. Retour aux fondements de la vie
Je suis resté quelques jours à partager la vie des moines, en compagnie d’autres retraitants comme moi. Nous étions en silence presque tout le temps. J’aimais suivre le rythme des offices, écouter le grégorien, partager les repas au réfectoire avec les frères au cours desquels la vie des saints nous étaient lue par l’un d’entre eux.
[protected-iframe id= »b8854853d70178f4f956c882904e4995-95521305-95617409″ info= »https://www.okpal.com/projects/01BPCE891MZT69M16YNQ9W4732/widget » width= »530″ height= »300″ frameborder= »0″ scrolling= »no »]
Lorsque je suis reparti pour Paris en fin de semaine, je me sentais allégé, revigoré. Le silence, le calme, la beauté des lieux et de la nature autour, la prière et les lectures, j’avais le sentiment de revenir aux sources, aux fondements de la vie. Cela m’a permis de faire le tri dans ma vie entre ce qui est essentiel et ce qui ne l’est pas. Depuis, quoiqu’il arrive, je renouvelle mes retraites monacales au moins une fois tous les deux ans. Et c’est au cours de ma dernière halte spirituelle que quelqu’un m’a parlé d’Aleteia. Depuis, Aleteia m’accompagne au quotidien. C’est ma façon de continuer à revenir aux sources, avoir un petit bout de retraite spirituelle.
Lire aussi :
Et si vous goutiez au silence ?
Halte spirituelle au quotidien
Ce qui rend Aleteia indispensable pour moi, c’est cet accès simple, quotidien et abordable à la spiritualité. Avec Aleteia, l’exemple des saints est un guide permanent, des saints à la fois humains, proches, parfois drôles et toujours édifiants. Grâce à ce rendez-vous quotidien la sainteté me fait moins peur, elle semble presque abordable à son tour ! L’esprit positif des articles change de la sinistrose ambiante, et l’orientation éditoriale résolument spirituelle est unique. Je ne cesse de découvrir des saints que je ne connaissais pas, ceux du passé comme ceux du présent. Aleteia est un phare qui permet de ne pas perdre pied dans la masse d’informations souvent angoissantes dont nous sommes abreuvés. Cette halte spirituelle au quotidien est devenue indispensable dans ma vie. »
La fête du jour
