Qui n’a jamais vu une photographie du pape François embrassant les pieds d’un prisonnier, caressant les cheveux d’un malade ou serrant un enfant contre son cœur ? On se souvient d’Emmanuele, le petit garçon orphelin qui lui avait confié sa détresse, ou encore de Marin, l’étudiant lyonnais frappé sauvagement, reçu en audience privée par le pontife argentin.

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Ce geste de tendresse qui marqua à vie le pape François
« Heureux les affligés car ils seront consolés », disent les Béatitudes. Le pape François a plusieurs fois appelé à une « révolution de la tendresse », se faisant proche des plus fragiles et apparaissant comme un apôtre de la douceur et un artisan de paix.