Le Saint-Père a salué par une bonne blague la foule nombreuse venue lui dire au revoir devant la cathédrale de Santiago.
Le Pape a proposé sa bénédiction à la foule mais « à une condition » : « Vous allez devoir payer quelque chose en échange : s‘il vous plaît, priez pour moi ».
Mardi 22 septembre, avant de prendre l’avion pour Washington, le Saint-Père a rompu le protocole le temps d’une salutation spontanée à la foule qui s’était rassemblée devant la cathédrale de Santiago. Le pape François a ainsi clôturé son voyage à Cuba par une bonne plaisanterie.
François a tout d’abord remercié ses hôtes pour l’accueil extraordinaire qu’ils lui avaient réservé sur cette île des Caraïbes : « Les Cubains ont un grand cœur et sont vraiment charmants. Ils vous font vous sentir à la maison. Merci beaucoup ! ».
Puis il a laissé deux conseils aux Cubains. Tout d’abord, de se souvenir du passé. En particulier des générations qui leur ont donné la vie : les grands-parents. « Un grand bonjour aux grands-parents. Ne négligez pas les grands-parents. Les grands-parents sont notre mémoire vivante. » Puis de penser à l’avenir, en prenant soin « des enfants et des jeunes, qui sont la force d’un peuple ». « Un peuple qui prend soin des grands-parents et des enfants, est assuré du triomphe. »
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