« La contraception est l’un des plus grands scandales du XXème siècle. » Dès les premières secondes d’entretien entre Alexandre Meyer, de Famille Chrétienne, et la jeune sexologue Thérèse Jacob-Hargot, on comprend que « le droit à la contraception », a été une fausse « libération », voire un droit dangereux, vu les effets secondaires parfois mortels de la pilule. En tout cas un droit qui est loin de servir l’amour, la sexualité, comme l’espéraient les femmes des années 60 en menant leur combat pour le faire passer.
Oser les bonnes questions
Thérèse Jacob-Hargot intervient dans les écoles, les médias et pour diverses organisations afin de susciter la réflexion sur les enjeux de la vie sexuelle et affective. Elle travaille notamment sur les problématiques du féminisme et de la libération sexuelle. Elle ose les bonnes questions : quelle est cette fameuse liberté qui se vit dans la dépendance au médecin par l’intermédiaire de la technique ? À quoi sert-il d’être disponible en permanence quand le désir est sous contrôle d’hormones artificielles ? Au nom de quoi ou de qui les femmes devraient-elles accepter les risques des effets secondaires de la pilule sur leur santé ?
À 25 ans, la jeune sexologue, a fait de ces questions le canevas de son ouvrage , Pour une libération sexuelle véritable, publié en 2010. Un ouvrage longtemps resté en tête des meilleures ventes d’Amazon sur Internet.
Pour en savoir plus: http://theresehargot.com/
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