Dans les Cahiers Libres, retour sur le courage du pape François, qui n’a pas hésité le week-end dernier à parler de « génocide arménien » malgré la pression turque.
Ce week-end, au Vatican, ce qui s’est passé n’était pas une petite provocation médiatique dont le but était de dépoussiérer une communication que d’aucuns jugeraient dépassée. Non. Ce week-end, le pape François – et toute l’Église avec lui – avec piété et panache, a honoré la mémoire d’un peuple dont l’histoire restera à jamais marquée du sceau sanglant de la barbarie humaine.
« Le premier génocide du XXe siècle a frappé votre peuple arménien – première nation chrétienne –, avec les Syriens catholiques et orthodoxes, les Assyriens, les Chaldéens et les Grecs. » « Il n’y a pas de famille arménienne, encore aujourd’hui, qui n’a pas perdu un être cher dans ces événements : ce fut vraiment le "Metz Yeghern", le "Grand Mal", comme vous avez appelé cette tragédie. » « De nombreux Arméniens ont été capables de prononcer le nom du Christ jusqu’à l’effusion du sang ou en mourant d’inanition pendant l’exode interminable auquel ils furent contraints par les Turcs. »
Des mots forts qui rétablissent une vérité humaine et historique que la Turquie négationniste refuse de reconnaître, continuant ainsi à appuyer sur les plaies afin qu’elles ne cicatrisent pas. Lire la suite sur les Cahiers Libres
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