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Abroger la loi Taubira, un cas d’école

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Liberté politique.com - publié le 14/04/15
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Philippe de Saint-Germain, de « Liberté politique », rappelle son opposition de toujours à ce projet de falsification du mariage. Pour lui, une seule voie est possible : l’abrogation pure et simple du « mariage pour tous ».
Il y a deux ans, le 23 avril 2013, la majorité socialiste et ses alliés votaient l’ouverture du « mariage » aux personnes du même sexe. Dès le lendemain du vote de la fameuse et funeste loi Taubira, le débat a fait rage entre partisans et adversaires de l’abrogation. Liberté politique s’est toujours opposée à ce projet de falsification du mariage. Nulle alternative acceptable à cette apparence de loi ne saurait altérer la réalité du mariage entre l’homme et la femme.

Pour autant, la loi votée, la question est moins de supprimer ou de changer le texte, que d’assurer le rétablissement dans la loi du véritable mariage au sein d’une société tétanisée par le mythe du progrès. Même à droite, de nombreux députés sont affolés par la perspective d’un « retour en arrière »…

Dès lors, comment procéder ? Les analystes de Liberté politique : juristes, philosophes, théologiens, historiens, élus…, affrontent dans le dernier numéro de notre revue une question politique qui constitue un cas d’école exemplaire sur la manière de revenir aujourd’hui sur une loi dite sociétale, où les autorités de l’État se sont attribué une fonction quasi religieuse en se faisant le juge suprême de la définition du mariage. Lire la suite sur Liberté politique

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