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Sœur Marie-Pierre : « mon vélo c’est ma chapelle ambulante ! »

FRANCE, Steenvoorde : Priests and abbots wait before competing in the French clergy cycling championships

AFP PHOTO / PHILIPPE HUGUEN

 AFP PHOTO / PHILIPPE HUGUEN

Le Bien Public - publié le 05/05/14

Passionnée de vélo, la religieuse de Mâcon, âgée de 67 ans, vient de remporter le contre-la-montre au championnat de France de cyclisme du clergé.

05/05/2014

Une concurrente atypique pour un championnat atypique : Sœur Marie-Pierre, 67 ans,  est membre de la Congrégation des Sœurs de Jésus serviteur (d’inspiration ignatienne), installée à Mâcon, en Saône et Loire. Elle vient de participer au 15ème championnat de France de cyclisme du clergé et y a remporté le contre-la-montre en 32 minutes, obtenant la médaille d’or dans sa catégorie.

 Elle s’est par ailleurs classée deuxième dans l’épreuve en ligne des 63 kilomètres. Les religieuses n’étaient que trois à concourir au milieu des hommes, mais les autres concurrentes n’avaient que 40 ans. Un motif de fierté supplémentaire pour elle !

Sœur Marie-Pierre portait le maillot rouge du diocèse de Valence (siège de sa congrégation) et un short du Groupement de la retraite sportive de Mâcon. Celle qui est aujourd’hui championne de France du clergé du contre-la-montre dévore de 3000 à 5000 kilomètres par an. Sa passion du vélo remonte à loin, mais elle ne s’est mise à la compétition que sur le tard. « Je faisais du vélo à Grenoble pour aller travailler (Ndlr : elle a enseigné en école d’infirmières) et j’ai aussi fait le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle en plusieurs étapes. Au début, je ne roulais qu’en VTC, puis sur un VTT », confie-t-elle dans des propos recueillis par Le Bien Public.

Sa première compétition, remonte à il y a 10 ans, lorsque la course du clergé fut organisée dans son département d’origine.  Une grande passion pour le vélo qui ne l’empêche pas de vivre sa foi, bien au contraire : les heures passées sur le vélo deviennent de vrais moments de prière : « La nature est un bel espace de méditation. Pendant l’effort, on se sent accompagné par quelque chose de plus grand, de plus beau. Mon vélo, c’est ma chapelle ambulante », déclare-t-elle.

Lire l’article  complet en cliquant ICI

I.C

Tags:
Cyclisme
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