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Quelles sont les raisons de croire en Jésus-Christ ?

Christ rédempteur du Corcovado – Brésil

© Dennis Degnan

La rédaction d'Aleteia - publié le 24/02/13

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La foi naît essentiellement de la rencontre lumineuse avec la personne du Christ, que le témoignage des Evangiles nous donne à connaître comme une figure absolument unique, qui touche le cœur et qui est digne de foi : le seul homme de l’Histoire du monde qui a prétendu être l’égal de Dieu et qui a parlé et agi comme tel ; le seul qui est mort par amour, d’une manière vraiment divine, en rejoignant l’humanité au plus profond de sa détresse ; et le seul homme dont on témoigne au prix de la vie que Dieu lui a fait traverser la mort. « Jamais homme n’a parlé comme cet homme » (Jn 7,46) et c’est pourquoi les paroles et la sublimité de l’enseignement de ce jeune charpentier de province « ne passeront jamais » (Lc 21,33)

La raison principale que nous avons de croire en Jésus, c’est la lumière qui jaillit de lui quand on veut bien se mettre devant lui, tel que le Nouveau Testament nous le présente. C’est une raison de croire qui est intérieure à Jésus lui-même et à son mystère, et finalement il n’y a pas d’autre témoignage que celui-là qui peut ultimement convaincre.

Ce contact authentique avec le Christ suppose un travail préalable, pour expliquer que les Evangiles sont crédibles, expliquer leur genre littéraire, montrer comment ils sont dignes de foi, et comment nous avons des sources sûres pour connaître Jésus. Il y a tout un travail de justification, extérieur à la personne de Jésus, indispensable, mais finalement la raison ultime de la foi procèdera de la figure même du Christ et de la rencontre avec lui.

Jésus n’a rien écrit : il a prêché oralement dans les villes et campagnes d’Israël pendant 3 ans mais ses paroles ont eu une postérité extraordinaire, comme lui-même l’avait prophétisé :

« Le Ciel et la terre passeront mais mes paroles ne passeront jamais » (Lc 21,33).

Comment expliquer un tel rayonnement ? Quel est le secret de la sublimité de son enseignement ? Jésus s’est présenté comme le Fils Unique de Dieu et les foules l’ont cru et l’ont suivi.

« Les foules étaient frappées de son enseignement » (Mt 7,28).
« Il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes » (Mt 7,29).

Et de nos jours encore, beaucoup font cette très simple expérience, à la lecture de l’Evangile, d’être mis en contact avec une personne unique, avec une parole pleine de sens, pleine de vérité, la « Parole de Dieu » qui résonnera jusqu’au bout du monde, jusqu’à la fin des temps et au plus profond de notre âme.

Les chrétiens confirmés et les martyrs vérifient aussi la certitude de la vérité de la foi dans l’expérience personnelle du Christ vivant qu’ils ont fait dans leur vie. Jésus nous appelle tous à « demeurer en lui » pour qu’il puisse « se manifester à nous » (Jn 14,21) afin que nous puissions tous vivre cette expérience fondamentale et connaître ainsi intimement, personnellement, sa providence, son amour et sa présence : « Qui cherche trouve et à qui frappe, on ouvrira » (Mt 7,8)

L’entrée dans la vie chrétienne s’opère par une triple expérience de Dieu :
– celle de l’intimité avec le Christ, de sa présence, de son amour,
– celle de l’action de la Providence qui manifeste un Dieu vivant, un Père très aimant, attentif à ses enfants, les aidant grandir et sur qui on peut compter,
– celle de la réponse qu’Il donne à nos prières d’une manière forte, personnelle, vraie mais toujours en pratique différente de ce qu’on imaginait au départ, car les pensées de Dieu ne sont pas nos pensées :

« Comme le ciel est au dessus de la terre,
   ainsi mes pensées sont au dessus de vos pensées » (Is 55,8)

La vie dans le Christ est, depuis le baptême (cf. CEC n°1216), la naissance d’une relation d’amitié avec Dieu Père, Fils et Esprit Saint, qui conduit à grandir dans l’union à Dieu comme l’ont expliqué d’une manière magistrale les docteurs de l’expérience mystique que sont Sainte Thérèse d’Avila (cf. son livre « Le Château intérieur ») et Saint Jean de la Croix.

La vie de prière et l’expérience intime de la rencontre avec Jésus est le cœur de la vie chrétienne et tout le monde est appelé à cela parce que ce que le Christ recherche d’abord et avant tout, c’est cette relation avec chacun de nous, pour qui il a donné sa vie :

« Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera et vous viendrons vers lui et nous nous ferons une demeure chez lui. » (Jn 14,23).

Le Christ le promet :

« Celui qui garde mes commandements, je l’aimerai et je me manifesterai à lui » (Jn 14,21)

Et c’est bien ce qui arrive quand on rentre par la prière et par le cœur dans une relation intime avec Jésus reconnu comme son Sauveur personnel, mais tout cela ne peut être découvert que par la recherche et l’accueil de sa grâce.

« Je vous dis : demandez et l’on vous donnera ; cherchez et vous trouverez ; frappez et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; et à qui frappe, on ouvrira. Quel est d’entre vous le père auquel son fils demandera un poisson, et qui à la place du poisson lui remettra un serpent ? Ou encore s’il demande un oeuf, lui remettra-t-il un scorpion ? Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus le Père du ciel donnera-t-il l’Esprit Saint à ceux qui l’en prient ! " (Lc 11,9-13).

Il existe aussi de nombreuses raisons objectives et fortes de croire au Christ : l’accomplissement des prophéties, reçues pendant plusieurs siècles, qui ont créé en Israël cette attente, unique au monde, de la venue du Messie ;

Jésus se référait constamment à l’accomplissement des prophéties, reçues pendant plusieurs siècles, qui ont créé en Israël cette attente, unique au monde, de la venue du Messie. « Tout est accompli » (Jn 19,30) par Jésus d’une manière stupéfiante.

C’est une réalité historique et unique au monde : le Peuple d’Israël a attendu pendant des siècles la venue du Messie, qui n’a pas été annoncé par un seul prophète, mais par une longue série d’hommes, dont les prédictions convergent et se complètent, au fur et à mesure, pendant des siècles.

Cette attente a été le fait d’un petit peuple, Israël, ballotté par l’histoire, mais qui a survécu à toutes les confrontations avec les Empires voisins et qui sera finalement dans l’avenir le seul peuple résistant à la dissolution du monde antique, en conservant intacte son identité malgré sa dispersion, et en gardant toujours la certitude inébranlable d’être l’instrument d’un destin éternel, aux dimensions du monde.

Au temps du Christ, tous cherchaient dans l’Ecriture le moment de la venue du Messie annoncé mystérieusement mais précisément s’agissant de sa vie, de sa mission, de sa naissance, de sa mort et même de la date de sa venue : l’attente de l’accomplissement des temps était devenue tellement forte et précise, en cette période particulière de l’histoire, qu’il y eut plus de 100 candidats Messie recensés par les historiens !

« Comme le peuple était dans l’attente » (Lc 3,15) quand Jean-Baptiste paru, tous lui demandaient : « Es-tu Celui qui doit venir ou devons-nous en attendre un autre ? » (Lc 7,19).
« Je sais que le Messie doit venir, celui qu’on appelle Christ. Quand il viendra, il nous expliquera tout » (Jn 4,25)

Au temps du Christ, l’attente d’Israël est à son paroxysme à cause des deux prophéties de Daniel qui datent le temps de la venue du Messie après les « 70 septénaires » prophétisés au temps de Darius (Dn 9) et au temps du « 4° royaume » après Nabuchodonosor qui a vu lui succéder les Perses, les Grecs puis les Romains. Il fallait aussi que « le sceptre » s’éloigne de Juda (Gn 49,10) et que le monde cesse toute guerre pour accueillir le Prince de la Paix (Is 9,5) ce qui arriva au temps de la pax romana d’Auguste.

« Le temps de la venue du Messie a été prédit par l’état du peuple juif, par l’état du peuple païen, par l’état du Temple, par le nombre des années : il fallait que les quatre monarchies, le sceptre ôté de Juda et les soixante-dix semaines arrivassent en même temps, et le tout avant que le deuxième Temple ne fut détruit » (Blaise Pascal – pensée 708 et 709).

Il est très étonnant de constater qu’il y avait aussi une attente unique, à cette époque chez les païens :
– Tacite et Suétone témoignent de l’attente des romains
– Virgile rapporte les oracles de la Sibylle de Cumes annonçant la Vierge et son enfant merveilleux
– Les astrologues babyloniens avaient aussi calculé avec une précision étonnante la venue de l’étoile du Messie

Même les juifs qui n’ont pas reconnu le Christ témoignent de la précision de cette attente, reconnaissant dans le Talmud, à la fin du premier siècle, que « toutes les dates calculées pour la venue du Messie sont désormais passées » (Traité Sanhédrin 97).

Le Messie attendu était mystérieusement annoncé par de très nombreuses prophéties.

Toute la vie du Christ « accomplit les Ecritures des prophètes » (Mt 26,56 ; Mc 14,49 ; Lc 4,21) si l’on est ouvert à « l’intelligence des Ecritures » (Lc 24,45), comme Jésus ressuscité le montre lui-même aux disciples :

« Et commençant par Moïse et parcourant tous les Prophètes, il leur interpréta dans toutes les Écritures ce qui le concernait » (Lc 24,47)

Tous ne le comprennent pas mais l’attente du Messie par Israël, les prophéties et leur accomplissement témoignent vraiment de la vérité du Christ.

Les œuvres que Jésus a faites et sa promesse que ses disciples en feraient encore « de plus grandes » (Jn 14,12) : ce qui est arrivé d’une multitude de manières, sur tous les continents, comme le montre toute l’histoire de l’Eglise, des origines jusqu’à nos jours ;

Jésus se référait aussi constamment aux œuvres qu’il faisait et qui attestaient de sa vérité : « Si vous ne croyez pas à cause de ma Parole, croyez au moins à cause des œuvres » (Jn 14,11), et il a promis que ses disciples en feraient encore « de plus grandes » (Jn 14,12) : ce qui est arrivé d’une multitude de manières, sur tous les continents, comme le montre toute l’histoire de l’Eglise, des origines jusqu’à nos jours ;

Tout au long de l’histoire du salut, Dieu a accompagné sa Révélation de miracles et prodiges surnaturels pour donner aux hommes des signes de sa présence. Le Créateur du monde est cause première de toutes les Lois de l’Univers, et elles ne peuvent évidemment être changées qu’avec une permission divine.

La Bible rapporte cependant parfois des prodiges mensongers (2 Th 2,9 ; Mt 24,24) qui ne viennent pas de Dieu, comme par exemple lorsque les magiciens d’Egypte changèrent leurs bâtons en serpent devant Moïse. Mais le serpent issu du bâton de Moïse et Aaron engloutit ceux des magiciens (Ex 7,12), comme pour montrer que les miracles de Dieu surpassent ceux des adversaires.

Toute l’histoire du salut est remplie de miracles :

Dans la première Alliance, Dieu envoie les 10 plaies d’Egypte puis il permet l’exode des hébreux « main forte et à bras étendu » (Dt 4,34 ; 5,15 ; 7 ,19) et quantité de miracles fruits de la foi des prophètes et des hommes de Dieu (cf. Hb 11,29).

Jésus « puissant en œuvres et en paroles, devant Dieu et devant tout le peuple » (Lc 24,19) a multiplié davantage encore les signes, prodiges et miracles « stupéfiants » (Jn 5,25). « Les foules s’émerveillaient-elles à la vue des muets qui parlaient, des estropiés qui redevenaient valides, des boiteux qui marchaient droit et des aveugles qui recouvraient la vue. Et elles rendaient gloire au Dieu d’Israël » (Mt 15, 31-36). Jésus reproche aux incrédules de ne pas se convertir devant « des œuvres que nul autre n’a faites » (Jn 15,24) Le Catéchisme de l’Eglise Catholique résume : « les signes accomplis par Jésus témoignent que le Père l’a envoyé et invitent à croire en Lui » (n°548).

Dans toute l’histoire de l’Eglise, les martyrs et les saints ont multiplié les miracles et certains d’une manière publique et forte comme par exemple après la Pentecôte ou plus tard avec Saint Antoine, Saint Benoit, Saint François, le Curé d’Ars, Padre Pio, etc. « Dieu confirme leur témoignage par des signes, des prodiges, des miracles de toute sorte » (Hb 2,4)

Dans nos vies personnelles aussi, les signes et évènements providentiels sinon les miracles surabondent dès qu’on se confie au Seigneur.

Et de nos jours encore l’Eglise témoigne publiquement d’innombrables interventions divines, qui sont des signes d’encouragement donnés au Peuple de Dieu en marche vers la Patrie céleste au milieu des difficultés de ce monde.

On est stupéfait du nombre et de la variété des signes, miracles et prodiges que Dieu donne encore partout à son Eglise pour conforter la foi : guérisons, apparitions, interventions divines, visions, prophéties, signes, stigmates, inédie, corps conservés, parfums, lévitation, prodiges, etc.

Plus de 90 % des miracles authentifiés par l’Eglise se trouvent dans les vies des saints. Ils sont incessants depuis vingt siècles. On en dénombre plusieurs milliers étudiés selon les critères scientifiques les plus rigoureux.

Cette quantité et variété stupéfiante de signes étonnants et vérifiés donnés par Dieu à son Eglise pour affermir la foi est largement méconnue parce que le monde les ignore, mais il s’agit pourtant de signes de crédibilité très forts qui n’ont aucun équivalent dans aucune autre religion, même si beaucoup d’autres croyants et de convertis peuvent aussi témoigner, de manière parfois crédible, des gestes de puissance et de miséricorde de Dieu à leur égard. Aujourd’hui encore : « Le Seigneur confirme la Parole par les signes qui l’accompagnent » (Mc 16,20).

l’expansion miraculeuse du Christianisme, qui finit par la conversion de l’Empire romain, sans autre puissance que le témoignage des martyrs ;

Après la mort du Christ, deux faits s’offrent à la considération de l’historien et lui permettent de parler de la foi en la Résurrection :
– tout d’abord, le courage soudain et inexplicable des disciples, mûs par une foi d’une intrépidité et d’une ténacité telle, qu’elle résiste même à l’épreuve du martyre ;
– deuxièmement, le témoignage de cette foi que les intéressés, c’est-à-dire les disciples, nous ont laissée. Au moment décisif, lorsque Jésus fut arrêté et exécuté, les disciples n’étaient dans l’attente d’aucune résurrection. Ils prirent la fuite et considérèrent que le cas de Jésus était clos.

Il s’est donc bien produit quelque chose qui, en peu de temps, a non seulement provoqué le changement radical de leur état d’âme mais les a conduits à une activité complètement nouvelle et à la fondation de l’Eglise, au péril de leur vie et sans que rien, pas même la mort, la torture ou le martyre ne parvienne à faire se renier aucun d’entre eux !

Ce témoignage stupéfiant des Apôtres et des premiers disciples et l’expérience si forte de la présence du Christ vivant et agissant au milieu d’eux après la Pentecôte est à l’origine de la transmission fulgurante de la foi en Jésus dans la première Eglise.

« Je vous ai donc transmis ce que j’avais moi-même reçu, à savoir que le Christ est mort pour nos péchés selon les Ecritures, qu’il a été mis au tombeau, qu’il est ressuscité le troisième jour selon les Ecritures, qu’il est apparu à Céphas, puis aux Douze. Ensuite, il est apparu à plus de 500 frères à la fois — la plupart d’entre eux demeurent jusqu’à présent et quelques-uns se sont endormis — ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les apôtres. Et, en tout dernier lieu, il m’est apparu à moi aussi, comme à l’avorton ». (1 Co 15, 3-8).

Les disciples n’ont pas pu inventer cela : ils étaient des personnes ordinaires, des pêcheurs, loin d’être enclins à avoir des visions. Au départ, ils ne croient pas ; Jésus doit presque forcer leur résistance : « Ô cœurs… lents à croire ! ». Ils n’ont pas pu vouloir tromper les autres non plus. Tous leurs intérêts y étaient opposés ; ils auraient été les premiers à se sentir trompés par Jésus. S’il n’était pas ressuscité, à quoi cela servait-il d’affronter la persécution et la mort pour lui ? Quel avantage matériel en tiraient-ils ?

Si l’on nie le caractère historique, c’est-à-dire le caractère objectif et pas seulement subjectif de la Résurrection, la naissance de l’Eglise et de la foi devient un mystère encore plus inexplicable que celui de la résurrection elle-même. L’on a remarqué à juste titre que : « l’idée que l’imposant édifice de l’histoire du christianisme soit comme une énorme pyramide placée en équilibre sur un fait insignifiant est certainement moins crédible que l’affirmation selon laquelle l’événement dans son ensemble – c’est-à-dire l’état de fait et la signification inhérente à cet état de fait – ait réellement occupé une place dans l’histoire comparable à celle que lui attribue le Nouveau Testament » (cité par P. Cantalamessa)

Une multitude de conversions en Israël et chez les païens a répondu au témoignage des Apôtres et les nouveaux disciples faisaient eux aussi l’expérience du Christ vivant si bien que rien ni personne ne pouvait leur faire renier le Christ. Pendant les 3 premiers siècles, la foi a parfois été combattue par des persécutions effroyables, conduisant au martyre des foules de chrétiens pacifiques, et ce témoignage fut si fort que l’ensemble de l’Empire romain se convertit finalement.

Jamais dans l’histoire les débuts d’une religion ne se sont faits d’une manière aussi divine et stupéfiante et l’expansion miraculeuse du Christianisme fut, pour beaucoup dans l’histoire, un autre très important motif de crédibilité de la foi.

La permanence de l’Eglise et de son Magistère au travers des siècles et la permanence de la sainteté dans l’Eglise, avec le témoignage et les exemples lumineux des saints et des martyrs, dans tous les siècles, qui sont pour nous comme un écho permanent des œuvres, des paroles, de l’amour, de la puissance, de la sainteté et de la lumière du Christ.

Croire est à la fois un don gratuit de Dieu et la réponse de l’homme à cette grâce. La foi dépasse la raison, mais il est très raisonnable de croire et le Seigneur, qui nous invite à l’aimer de tout notre cœur, notre âme, notre esprit et notre force (Mc 12,30), s’adresse aussi à notre intelligence pour qu’elle prenne appui sur les solides raisons de croire qu’il nous donne toujours, objectivement et personnellement, aujourd’hui comme hier (cf. Ac 1,3).

Réponse écrite par Olivier Bonnassies, journaliste à Aleteia, directeur exécutif de l’Association Marie de Nazareth et Philippe Oswald, journaliste à Aleteia et ancien directeur de la rédaction de Famille Chrétienne.

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