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Sept choses à savoir sur Mère Teresa

WEB MOTHER TERESA 1970 © Archives CIRIC

© Archives CIRIC

Septembre 1970: Mère Teresa, (Agnès GONXHA BAJAXHIU), fondatrice des Misssionnaires de la Charité (1950), née à Skopje (Yougoslavie), prix nobel en 1979, décédée le 05 septembre 1997.

Arthur Herlin - publié le 30/08/16

Aleteia vous révèle quelques secrets sur la religieuse de Calcutta décédée le 5 septembre 1997.

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1. De son vrai nom Anjezë (Agnès) Gonxha Bojaxhiu, Mère Teresa s’est baptisée ainsi en l’honneur de la petite Thérèse de l’Enfant Jésus.

2. Avant de partager le quotidien des plus miséreux, celle que l’on appelle alors sœur Agnès a vécu pendant de longues années en contact avec la haute société indienne. Pendant vingt ans en effet, elle a enseigné la géographie aux jeunes filles des hautes castes qui fréquentent le collège Sainte-Marie à Calcutta.

3. Son premier contact avec l’extrême pauvreté eut lieu alors qu’elle effectuait un stage intensif chez les « Medical Sisters » à Patna, elle vint alors en aide à une vieille femme jetée par son fils dans une poubelle, couverte de fourmis.

4. Chose peu commune, son ordre religieux féminin inspira la création d’un autre masculin. En 1965 en effet, un jésuite d’origine australienne, frère André, créa à Caracas et Barquisimeto (Venezuela), une branche masculine aux missionnaires de la Charité.

5. Le 10 décembre 1979, dans son discours de réception du prix Nobel, Mère Teresa médusa son auditoire à plusieurs reprises. Cela commença lorsqu’elle fit réciter la prière de saint François d’Assise  :

Seigneur, faites de moi un instrument de votre Paix !
Là où il y a de la haine, que je mette l’amour.
Là où il y a l’offense, que je mette le pardon.
Là où il y a la discorde, que je mette l’union.
Là où il y a l’erreur, que je mette la vérité.
Là où il y a le doute, que je mette la foi.
Là où il y a le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où il y a les ténèbres, que je mette votre lumière.
Là où il y a la tristesse, que je mette la joie.

Ô Maître, que je ne cherche pas tant
À être consolé … qu’à consoler;
À être compris … qu’à comprendre;
À être aimé … qu’à aimer;

Car,
C’est en donnant … qu’on reçoit;
C’est en s’oubliant … qu’on trouve;
C’est en pardonnant … qu’on est pardonné;
C’est en mourant … qu’on ressuscite à l’Eternelle Vie.

6. Pour Mère Teresa, la plus grande menace auquel devait faire face l’humanité restait l’avortement : « Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. » « Si vous ne voulez pas l’enfant à naître, donnez-le-moi, je le veux ! », s’est-elle écriée à Ottawa en septembre 1988.


CHARITY SISTER

Lire aussi :
Les sœurs de Mère Teresa plus actives que jamais en Afghanistan

7.  Mue par une certaine audace lorsqu’elle faisait face aux puissants, Mère Teresa eu de nombreux coups d’éclats, comme lorsqu’elle demanda publiquement à Fidel Castro de prier pour elle lors d’une visite à Cuba en juillet 1986.

Bonus :
Lors de ses nombreux voyages la religieuse emportait souvent avec elle une grande statue de la Vierge Marie. Elle expliquait alors aux passagers interloqués : « Notre Dame a tellement envie de venir avec nous ! Nous avons un accord toutes les deux : je la prends avec moi, elle m’aide à entrer dans les pays où il est difficile d’aller. Durant le voyage, je l’installe près de la fenêtre, et elle regarde le paysage ! ». Dans un certain pays d’Amérique du Sud hostile à la religion catholique, elle parvint à rencontrer le dirigeant. Très impressionnée par la dureté de son visage, elle s’avança vers lui et lui demanda : « Avez-vous des enfants ? », « Oui, sept », répondit-il. Sans se défiler, elle sortit de son sac huit médailles miraculeuses. « Et celle-ci est pour vous. Vous en avez besoin ! Mais vous devrez la porter autour du cou ! ». Détendu, le dictateur permit à cinq sœurs de s’établir dans le pays pour assister les pauvres.

Certaines de ces anecdotes ont été découvertes dans ces ouvrages :

© Mame
© Mame
© Mame

Mère Teresa, dis-nous en qui tu crois !, de Bénédicte Delelis, Anne-Sophie Rahm, Éric Puybaret, Golchehr Damghani. Éditions Mame, août 2016. 17,50 euros.

© Artège
© Artège
© Artège

Viens, sois ma lumière, de Mère Teresa de Calcutta. Éditions Artège, août 2016. 21,90 euros.

Tags:
Mère TeresaVatican
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